1. Le deal


    Datte: 10/12/2017, Catégories: fh, fplusag, jeunes, profélève, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Masturbation intermast, Oral pénétratio, h+prof,

    ... mienne, je souris, gênée, le quatrième, Victor, pose ses mains sur ma taille, ses bises sont légères et enfin, Vincent, deux mètres, se plie en deux pour me poser un bisou prononcé sur la joue. Je les félicite encore. Louis se penche vers moi. — Je vous ai à moi pour ce midi, Mam’zelle. Z’avez promis de me faire plaisir. Je suis rouge et j’ai chaud dans ce matin d’été, de fines gouttes de transpiration coulent au creux de mes seins, couverts par la robe moulante. — Je tiendrai parole, M. Pécheux.— Ok. Il griffonne quelque chose sur un papier. — Envoyez-moi un texto pour me dire où l’on se retrouve, et à quelle heure. Et dans le texto, je veux que vous utilisez le mot « coquine ». J’écarquille les yeux, gênée, les garçons ricanent bêtement. — Co… coquine, M. Pécheux ?— C’est ça. Je fais mine de prendre ça à la légère. — Très bien, je vous vois tout à l’heure. Louis se tourne vers les garçons. — Venez, les amis, on va fêter ça ! Je les regarde s’éloigner. J’ai l’impression nette qu’il ne va pas me demander un simple repas. —oooOOOooo— Cela fait huit fois que j’écris et que j’efface ce texto. Comment tourner la phrase de manière à respecter le désir de Louis sans utiliser le mot « coquine » de manière équivoque ? La « prof coquine » ? Hors de question. Autant dire « La prof au gros seins très coquine ». Non, je ne peux pas l’inciter à se faire des idées. Il veut juste me mettre dans l’embarras. « Je vous attends à midi pour une collation coquine » ? N’importe quoi ! C’est ...
    ... parfaitement équivoque ! Je suis dans la mouise. — Je vous attends rue Marceaux, devant le magasin de chaussures coquines ? Mouais. S’il y a bien un magasin de chaussures rue Marceaux. Et si les chaussures sont coquines. Je tourne la tête et voit deux petites filles jouer à chat sur le trottoir. Je sais ! Je tape sur mon téléphone : — M. Pécheux, je vous attends dans la rue derrière le Lycée, où deux coquines jouent à chat en ce moment… Je me relis. Rien d’équivoque dans le message. Je souris, fière de moi. J’envoie. —oooOOOooo— Louis arrive, seul, un grand sourire aux lèvres. Ses yeux brillent dans le soleil. — Bien joué, m’zelle, je ne m’attendais pas à celle-là. Il me fait une bise rapide sur la joue. Je le laisse faire. — Merci. Alors ? Où souhaitez-vous manger ce midi ? Il n’hésite pas un instant. — Chez vous, c’est possible ? Je sais que j’ai pâli. Sait-il que je vis seule ? — Allez, M’zelle, soyez cool. Je hoche la tête. — Très bien. J’habite à deux pas. Il prend ma main dans la sienne. Ses mains sont fraîches et douces. — On se donne la main, ça me fait plaisir. Je regarde autour de nous et retire ma main d’un coup sec. — M. Pécheux… nous sommes proches du Lycée, j’aurai des ennuis si on me voit donner la main à un élève. Il me regarde, implorant. — Juste le petit doigt, alors ?— Je…— Allez, M’zelle. J’ai trop envie. Je jette un œil à la rue. Personne. Nos petits doigts s’accrochent discrètement, et nous marchons côte à côte. Qu’est-ce que je suis en train de faire ? ...
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