Sur la plage, elle partait...
Datte: 10/12/2017,
Catégories:
fh,
inconnu,
plage,
volupté,
revede,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
ecriv_f,
... verrait-elle enfin ? Non, mais elle se leva et se dirigea vers la plage que les gens avaient désertée à cette heure très tardive. Le mouvement de son corps marchant sur le sable, le glissement de sa robe si légère sur son corps, ses formes apparaissant par intermittence au gré des lueurs voisines. Tout cela conjugué me montrait combien j’étais privilégié d’épouser du regard cette fille. La regarder là, assise, était un plaisir mais ce n’était plus suffisant, mon esprit… mon corps demandait plus. Le désir devenait mon seul moteur et la raison laissait la place à l’assurance, car je venais d’identifier mon désir : je voulais donner du plaisir à cette fille. Elle avait les yeux fermés quand je m’approchai suffisamment pour me dévoiler. Bizarrement, le fait de me rapprocher m’apaisait et sans m’en apercevoir, je pris une cigarette. Les yeux toujours fermés, la tête légèrement penchée en arrière, je la déshabillai du regard au travers de la fumée. Les volutes formaient un écran que son regard perça immédiatement quand elle s’aperçut de ma présence. Nous restâmes à nous dévisager, sereins. Pour la première fois de ma vie, je sentis un lien entre cette fille et moi. De façon incompréhensible, je m’approchai d’elle et, à sa hauteur, je pus enfin poser mes lèvres sur les siennes. Comme si je m’y attendais, aucune résistance ne se fit sentir sinon un recul que j’interprétai comme de la surprise. D’un naturel plutôt réservé, je n’avais jamais fais cela auparavant mais à ce moment ...
... précis ce n’était plus qu’elle et moi, elle avec moi. Je repris conscience de ce que je faisais avec mes mains sur son corps encore tiède du bain de soleil ou alors était-ce de l’excitation ? Je voulais être délicat. Elle ne m’inspirait que de la douceur. Son cœur battait si fort que je le sentis au toucher… ou peut-être était ce le mien. Impossible de le savoir. Sa langue en train de danser avec la mienne était agréable à un point plus élevé que celui imaginé dans mes rêves éveillés. Une de mes mains se posa naturellement sur son sein. Oh ! Dieu que son sein était agréable par sa forme, une forme parfaite, une forme épousant parfaitement celle de ma main. Mes sens se mélangeaient, étant encore en train de l’embrasser, je ne voyais ses seins que par mon toucher. Toucher accentué par la cambrure que prit cette fille accompagnée d’un petit bruit venant du fond de sa gorge. Encouragé, je libérai sa poitrine, sa robe descendit lentement, dévoilant ses seins dont la vue ne faisait que confirmer le toucher. Ils étaient beaux, si beaux que j’eus l’impression qu’au contact de ma peau, ils se tendirent comme une invitation à aller plus loin en même temps qu’une confirmation d’un plaisir à venir et que nous allions partager. Mais je ne voulais à présent que lui donner du plaisir, le mien m’importait peu. Nos salives s’étant mélangées, je descendis lentement, délicatement, par la route que je considérais comme celle qui menait au temple de la féminité et que tout homme se doit d’honorer. Ma ...