1. La reine Margo - 1


    Datte: 10/12/2017, Catégories: Humour, Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... qui se balançait sous ses yeux me faisait sourire. Mais, visiblement, cela ne la laissait pas indifférente, car ses mamelons pointaient à présent, bien visible malgré l’épaisseur de sa robe de bure.On croisa un couple se bécotant, à demi nu, qui nous m’invitèrent a leur chambre sans détour. Je refuser en riant tout en me laissait caresser les seins au passage par l’homme dont la verge en érection pointait sortit de son pantalon, il loucha aussi vers la belle voyageuse en se caressant la queue sans vergogne. Un beau membre veiner et courber vers de haut. Je vis la sorcière y jeter un œil avant de rougir un peu tandis qu’on continuait notre chemin.— Désoler, dis-je, mais c’est toujours comme ça ici, faudra vous y faire pendant votre séjour.— Je comprends aussi pourquoi on surnomme ce château (le palais des plaisirs).Je me contenter de sourire en marchant, les mamelons gonfler et agacer par de petits courants d’air filtrant à travers le château. On croisa plusieurs gardes qui nous offrirent les services de leurs queues au point ou Mara commença à soupirer en me demandant :— Vous êtes certaine que je vais être en sécurité ici ?— Oui, n’ayez crainte. Aucun homme ne vous forcera à faire quoi que ce soit, au château ou en ville.Une fois en bas d’un grand escalier en colimaçon, et au bout d’un long couloir étroit, je stopper devant une très ancienne porte de métal éroder.— C’est ici que vit notre rat de bibliothèque, on va lui faire une petite peur pour qu’il vous laisse travailler ...
    ... tranquille.— Ah oui ! Fait la sorcière amuser.— Hum, il est très superstitieux le bougre.— Oh.— Laisser moi entré la première, dis-je en commençant a ouvrir la lourde porte qui grinça méchamment.— Un instant, dit-elle en me touchant l’épaule, j’oubliais, j’ai un message a vous transmette.Juste de sentir sa main légère et si délicate sur ma peau encore mouiller me donna le frisson tandis que je me tournais vers elle. Elle était si près que ma poitrine frotta contre la sienne, elle se recula en rougissant a nouveau quelque peut.— Un message ! De qui ?— De l’un de vos anciens amants, apparemment.— J’en ai tellement eu, vous savez.— J’imagine, dit-elle visiblement toujours troubler par ma nudité ! Mais... mais celui-là parait-il a compter pour vous, énormément.— Ah bon, qui dont ? Demandai-je intriguer sans pouvoir deviner a qui elle faisait allusion. Je n’avais eu que deux grands amours dans ma vie, deux hommes seulement qui avaient vraiment compté pour moi et les deux étaient morts ; mon mari et un grand guerrier, une véritable légende que j’avais rencontrée 10 ans après la mort du roi et qui était mort au combat, quelque part dans une lointaine contrée. L’amour de ma vie en fait.— Et bien, fit-elle mystérieuse, celui qui n’a plus de noms.Je figer en attendant cela, mon cœur eu même des ratés tandis que je la fixais droit dans les yeux essayant de deviner ses intentions. À quels jeux jouait-elle, cette garce ? Elle voulait me faire croire qu’elle parlait au mort maintenant. Mais ...
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