La reine Margo - 1
Datte: 10/12/2017,
Catégories:
Humour,
Mature,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... fellation, d’ébat sauvage dans les bois ou ici au château avec un ou plusieurs, etc. Le sexe était au centre de notre vie a tous et a toutes et on riait parfois a n’en pleurer, a se moquer de certains nos anciens amants surtout.Parfois aussi, juste avec l’éponge, elle m’amenait à l’orgasme tandis que quelques-unes me rejoignaient dans la baignoire pour qu’on s’embrasse et se caresse, laver par les autres. Le paradis quoi.Mais ce soir, les yeux fermer, je me détendais en les écoutant, le sourire aux lèvres, tandis que des éponges me glissaient sur les bras, les pieds, a l’intérieur des cuisses, sur le sexe, le ventre et sur mes gros seins au téton bien dur et sensible... un pur bonheur, comme a chaque bain. Au loin, le tonnerre grondait et parfois quelques éclairs de chaleur illuminaient le ciel. Un orage approchait et je l’espérais pour que l’ont dorme mieux cette nuit que les nuits précédentes.Comme le soleil venait de disparaître derrière les montagnes, une servante entra pour allumer de grands cierges et des lampions pour ensuite ouvrir les portes-fenêtre donnant sur le balcon et sur la cité en contre bas pour laisser un peut d’air frais rafraîchir la pièce avant de repartir le sourire aux lèvres. Le vent léger qui s’engouffra aussitôt souleva les d****ries qui flottèrent mollement et fit que nos corps se couvrirent d’une délicieuse chair de poule.Ce soir en plus, il y avait ma petite nièce Maria qui, à genoux derrière la cuve, lavait mes épais cheveux bruns. Je sentais ...
... ses petits ongles m’égratigner le cuir chevelu. Je tourner la tête vers elle pour me retrouvez le nez sur sa gorge et aperçu par l’échancrure de sa chemise de nuit que sa poitrine commençait a pousser. Je soulever le tissu de sa chemise avec un doigt en admirant les petits seins tout blancs aux minuscules mamelons roses en disant :— Dit dont toi, depuis quand ta des tétons, mon petit lutin des bois ?— Deux semaines ma tante. M’annonça-t-elle fièrement.— Et bien, te voilà presque une femme, que le temps passe vite. Ça chatouille quand ça pousse, hum ?— Oh oui, fit-elle avec conviction avant de rajouter ; maman dit que l’an prochain je pourrai assister au carnaval.— Oui, sûrement, mais là, t’es encore trop jeune pour écarter les cuisses. Et t’as pas encore tes saignements m’as dit ta mère. Elle m’a bien averti de ne laisser personne te toucher.— Je sais, mais j’ai mal au ventre parfois, c’est pour bientôt, je pense, j’ai si hâte.— Ne te presse pas trop Maria pour laisser une grosse verge se faufiler dans ta fente, dit Julia en me lavant les seins avec beaucoup de vigueur pendant que je caressais les siens au passage. Moi, j’avais ton âge la première fois et ça ma fait mal, j’aurais du attendre un an de plus.— C’est ce qui arrive quand on perd sa virginité avec un bel étalon trop bien monter, dit Éloïse, une jolie blonde mince et élancer presque sans poitrine, surtout un étalon avec un long museau, des sabots aux quatre pattes, des couilles grosses comme de jeunes citrouilles et ...