1. La reine Margo - 1


    Datte: 10/12/2017, Catégories: Humour, Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... cuisses se refermèrent sur l’éponge de Léandre tandis que le plaisir me traversait le bas ventre comme un coup de point me faisant grimacer terriblement et montrer les dents. Je m’entendis gémir, le feu aux joues, puis soupirer très fort, tandis que l’orgasme puissant était à son paroxysme provocant de petites contractions vaginal très agaçante. Mes fesses se resserrèrent, mon anus pulsa et mon bassin se souleva frénétiquement comme si j’étais possédé par un vil démon des forêts, provoquant de grosses vagues dans la cuve qui éclaboussèrent les filles. Elles se regardèrent et pouffèrent de rire à me voir dans un tel état. Puis, j’entendis :— Tu deviens aussi laide que ma mère quand tu jouis ma tante, souffla Maria a mon oreille avant d’éclater de rire comme les autres.L’orgasme disparu aussi vite qu’il avait surgi me laissant essouffler et vaseuse et surtout, soulagée, puis je me détendis en reprenant mes sens peut a peut affaler dans la cuve. Elles recommencèrent à me laver tout doucement tandis que les éclairs et le tonnerre redoublait d’ardeur faisant trembler les pierres du château.Je tirer la langue a ma nièce en me caressant les seins et rit avec elle en regardant sa mère justement, ma sœur Jeanne, qui dormait bien assise dans un gros fauteuil, bouche ouverte en ronflant légèrement, jambes écarter sous ses jupes, nullement déranger par nos éclats de voix ou le tonnerre. Elle et ma nièce avaient fait le voyage de leur fief jusqu’à la cité en carriole pour que ma sœur ...
    ... puisse assister au carnaval comme chaque année. Deux journées de routes épuisantes pour elle. Ma sœur me ressemblait comme si nous étions jumelles même si j’étais son aînée de 3 ans : Mêmes cheveux épais et bruns, même visage fin et délicat aux joues creuses, même jolie bouche, même grosse poitrine et même taille. Chaque fois que je la regardais, j’avais l’impression de voir mon reflet dans un miroir. Nous étions de belles femmes dans la cinquantaine et Jeanne était veuve comme moi. La seule différence entre nous, c’était que je n’avais jamais eu d’enfant. On nous appelait les jumelles depuis toujours et on avait fini par laisser courir.— Regarde ta mère Maria, dis-je a ma nièce, elle aime gober des mouches et ronfler, on la dirait prête à se faire grimper dessus par un cheval elle aussi.Tout le monde rit.— J’y pense, t’as pris ton bain aujourd’hui toi, la petite comique ?— Non ma tante.— Alors, grimpe.— Mais tes cheveux tante Margo.— Émilie va s’en occuper, moi je vais m’occuper des tiens.Maria se redressa et se débarrassa rapidement de sa chemise de nuit, dévoilant son corps maigre d’adolescente qu’on admira toutes et enjamba le rebord du bain pour s’installer entre mes jambes s’adossant sur mes seins qu’elle écrasa avec son dos osseux. Grande et maigre elle allait devenir une très jolie fille à n’en pas douter. Son visage était ovale et d’une pâleur presque indescente, ses traits gracieux, harmonieux et elle commençait à attirer les hommes. On commença à la laver en la ...
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