1. Parenthèse charnelle


    Datte: 10/12/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Premier soir. Le TGV fend la nuit à 300 km/heure mais je suis si impatient de toi que j’ai l’impression qu’il se traine. Encore 10 minutes et je te retrouve. Heureusement, je suis très occupé car depuis une demi-heure, tu me bombardes de SMS ultra chauds, promesses torrides, et le résultat est que je suis hyper excité, la queue gonflée à bloc. En prime, une auréole sombre s’est formée au niveau de mon gland tellement je goutte. Toi, tu es au chaud dans ta voiture, sur le parking de la gare de Montpellier, mouillée, avide de moi dans toi. Tu pianotes fébrilement des mots de plus en plus crûs. M’exciter à ce point te mets dans un état proche de l’orgasme sans même te toucher… Le train ralentit, il va entrer en gare. Je suis déjà devant la porte, valise à la main. La traversée du wagon fut une épreuve. Forcément. Les passagers étant assis, leurs yeux sont juste à la hauteur de mon trouble visible. Entre ma bite qui déforme mon pantalon et la tâche sur le côté, mon état ne laisse guère de place au doute… Le quai. Je cours presque. Dehors, je cherche des yeux ta petite auto rouge. Je te vois avant elle, nonchalamment appuyée contre la portière. Tu portes une courte jupe colorée et un blouson rouge et noir. Sur tes épaules, tes cheveux sont libres et épars. Tu arbores un sourire mi-narquois, mi-conquérant. Tu es sublimement désirable. Juchée sur tes talons aiguille, tes jambes galbées semblent interminables. J’ai le temps de me demander si ce sont des bas ou des collants, culotte ...
    ... ou pas, et je suis contre toi. Langues qui s’emmêlent en guise de palabres, ta main qui empoigne ma bite histoire de vérifier que je suis en forme car tu meurs de faim. C’est le cas, tout va bien du côté de ma tige. Je m’installe au volant, tu poses innocemment tes pieds sur la planche de bord comme tu le fais souvent. Tes jambes sont légèrement écartées, je tente de mater dans le rétro, peine perdue c’est une zone d’ombre. Mais forcément ta jupe glisse et j’entrevois vois du coin de l’œil un petit bout de jarretelle noire. Mon sang ne fait qu’un tour et pulse violemment dans mon sexe gorgé de désir pour toi. Impossible de résister, je dois vérifier ce qui me taraude ! Fébrile, ma main s’insinue entre tes jambes vers l’objet de mes tourments. Le nylon de tes bas me donne la chair de poule…enfin la peau si douce de l’intérieur de tes cuisses…je stoppe net ma progression, ma main se fait chaude, ma peau savoure la tienne. Je perçois la chaleur de ton sexe, irradiant sous le tissu, nul besoin de palpation pour comprendre que tu es nue. Putain comme je t’aime ! Ma chaudasse adorée est enfin de retour, et elle a les crocs affamés par des mois d’abstinence… Après moult circonvolutions charnelles, le Graal. Tiens, tu es intégralement épilée ? Surprenant ! Je m’aventure sur ce terrain inconnu, c’est doux et agréable en fait, j’aime bien. Tes lèvres gonflées sont largement ouvertes comme une bouche gourmande et avide. Je descends le long de la vallée humide, effleurant le clitoris, ...
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