Deux (15)
Datte: 03/07/2017,
Catégories:
Hétéro
... face à moi, j’inspire puis expire profondément. Je me sens divinement bien. Nous parlons de lui, de moi, de nos vies, de nos amis. Nous rions, nous nous émouvons. Damien garde une distance et semble mettre un point d’honneur à ne pas entrer dans la séduction et le charme. A plusieurs reprises, il aurait pu répondre différemment, me chercher, me dire un mot tendre qui m’aurait touché. Alors que j’angoissais à l’idée qu’il puisse chercher à me séduire à tout prix, je me retrouve frustrée face à un homme qui agit… comme je l’espérais ! Damien ne se départira pas de ce comportement jusqu’à la fin du repas. Après le café, il me demande : — Est-ce que ça te dit d’aller faire quelques pas au bord du lac ? J’accepte et nous partons en marchant côte à côte. Discrètement et dans un sourire, il me tend le bras. Je le prends et lui dis : — Ça fera 7 ans le mois prochain que nous ne nous étions pas vus. — Je sais, oui. C’était à l’anniversaire de la fille d’Aline et Joël. Nous papotons de nous pour la première fois. Damien est sur la retenue, comme s’il pensait que je lui tends un piège, comme un chat qui ne veut pas jouer avec la souris. On s’évite. Puis, alors que nous longeons le lac sur la promenade aménagée, il dit : — Tu me plais toujours. Éperdument. Je frissonne malgré la chaleur. Puis, il ajoute : — Réellement, pourquoi es-tu venue aujourd’hui ? — J’avais envie de te voir, d’être avec toi pour ressentir ce que je ressens depuis 1h30 maintenant. La boule au ventre, le coeur qui ...
... bat, l’excitation, l’interdit. Et le désir aussi. Alors que nous pensions avant de venir que le temps aurait fait son œuvre, nous sommes confronté à ce que nous redoutions et désirions le plus : notre amour brûle toujours. En moi, c’est un brasier. Je fais des efforts pour ne pas montrer ce que je ressens. Au bout de la promenade, nous franchissons la digue. Seuls face au lac, nous nous enlaçons. — Je crève d’envie de coucher avec toi, Mu… Je me love contre son torse puissant que je caresse avec envie. Mes mains palpent, effleurent, massent, tâtent. Je vis intensément ce moment, je veux en profiter, prendre mon temps. Mes doigts glissent sur la peau de ses hanches puis dans son dos. Les siennes restent sagement dans mon dos. — Ça fait plus de quatre ans que je ne prends plus de plaisir aux très rares ébats que j’ai avec mon mari. — Deux ans que je n’ai pas couché avec ma femme. Je ne l’ai jamais senti aussi peu confiant. Il tremble en descendant ses mains sur mes fesses alors que je n’attends que ça. Il les pelote quelques instants avec de soulever ma robe. ENFIN !! Ses doigts sur mes fesses envoient des décharges de plaisir dans mon corps. Il m’embrasse dans le cou, j’ai chaud, très chaud, je pelote à mon tour ses fesses puis attire ses hanches contre les miennes. Son sexe dur contre mon ventre. Sa grosse bite. MA grosse bite. Mon esprit est en fusion. J’ai envie d’embrasser Damien, de caresser sa verge, de la voir, de la sucer. J’ai envie d’être sa maitresse. J’ai envie de ...