1. "Best of" des phrases douteuses #9


    Datte: 11/12/2017, Catégories: humour, perles,

    ... J’empoigne fermement ses pamplemousses. Elle me demande « Tu bandes ? » Je réponds « Comme un âne ! » Trouver la partenaire idéale ne fut pas une mince affaire. Nous la voulions plus jeune que nous (nous avons 34 ans), nous la voulions fine et jolie et pour ma part, j’ajoutais un critère de « taille », une poitrine lourde et ronde. Nous voulions une personne « soumise » bien que je n’affectionne pas trop ce terme, voyeuse et exhibitionniste, évidemment bisexuelle et ayant déjà vécu des expériences de trio. Il s’empresse de la mettre à l’aise en jetant quelques condoms sur le lit. Assez rapidement il me rappela que je n’étais pour lui qu’une femelle et une salope. Elle me regarde de son regard. Lio râle de plaisir et passe sa fine main droite sous sa croupe pour me griffer les bourses de ses ongles. Elle se contracte, lance plus en arrière sa croupe qui me plaque contre la paroi, cela devenait bestial, elle crie, sa poitrine balance, mes mains enserrent ses reins, j’entraîne sa croupe parfaite dans un va-et-vient effréné, puis tel le rut dans la savane, je vide puissamment une énième fois mes bourses. Je regarde ma femme, elle dort bien, elle ronfle. Tant mieux ! C’est alors que j’ai goûté ma première chatte. La sienne était agréable à manger. L’été je ne porte pas de ...
    ... sous-vêtements, mais là j’ai l’impression que mes seins sont un peu trop gros pour ce tee-shirt ; vous ne les trouvez pas trop gros ? En fait, je mouille depuis ce matin… Heureusement que je n’ai pas mis de culotte aujourd’hui, elle serait foutue ! C’est d’ailleurs pour ça que je n’en porte presque jamais, en fait je mouille très souvent ! Je dois être un peu cochonne finalement… N’appréciant pas trop le goût du sperme, et le sien n’étant pas particulièrement goûteux, je n’ai pas pu réprimer mes sentiments et j’ai fait la moue. Elle prend la savonnette et langoureusement n’épargne pas un brin de son corps, jouant à la faire pénétrer dans ses orifices encore dilatés. Pendant ce temps, je jouis. J’espère qu’en lisant ce texte ma femme sera excitée et se caressera peut-être. Anne vient de me dire qu’elle n’a jamais joui dans un parking ! Tu te rends compte ! Je ne vous relaterai pas tous nos ébats, je terminerai seulement avec la conclusion de cette sodomie-ci. Pourtant je suis allée fumer une cigarette, nue sur une chaise du balcon et je me suis caressée, les cuisses grandes ouvertes vers l’extérieur, en me léchant le bout des doigts après avoir éteint mon mégot. Nous partons chez moi, elle ne peut attendre et se déshabille dans la voiture. C’est une règle chez moi : jamais de string sous une robe. 
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