1. Les nièces jumelles : saison 3 (5)


    Datte: 11/12/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... plaisir avec moi comme ils l’entendent. Quelqu’un m’attrape soudain par les cheveux et m’éjacule à la figure. J’en suis à un point tel que je ne réalise à peine ce qui m’arrive, juste assez pour ouvrir la bouche en espérant en avaler un maximum. Je n’avais jamais vécu une baise pareille. Megan et moi sommes de véritables putes gratos sur lesquelles n’importe qui peut venir tirer son coup. Depuis le début, il doit bien y avoir entre vingt et trente mecs qui nous sont passés dessus, un record. Je pensais que je pourrais peut-être redescendre un peu faire la fête après tout ça, mais je crois que je vais passer la nuit ici. Tant pis pour nos invités. Nous nous faisons vraiment prendre comme de vieilles poupées gonflables. Nous avons à peine la force de bouger, mais ces salauds ne se gênent quand-même pas pour nous sauter. Ils se servent de nous comme des sacs à foutre. Ce sont des mâles en rut qui ont besoin de se vider un coup. J’ai perdu tellement toute fierté que le fait de savoir qu’on se sert de moi comme un réceptacle à sperme suffit à me faire jouir. Le dernier me prend en missionnaire jusqu’à ce qu’il éjacule sur mes seins et le ventre. Il prend une photo avant de se rhabiller. Je pense qu’il va s’en aller, quand il appelle un de ses potes avec son portable : — Mec, tu as reçu la photo ? Ouais, tu as vu ? Je ne déconne pas, ce sont les jumelles Trojans là. Ouais, sérieux, je les croyais encore vierge, mais ce sont de vraies salopes. Elles prennent même par le cul. Si tu ...
    ... veux les baiser, c’est le moment où jamais ! Ramène les potes. Crois-moi, c’est open bar. Il s’en va. Bon bah, nous en avons peut-être pas encore totalement terminé finalement. Au moins, on a un peu de temps pour récupérer. Je rampe vers Megan pour la prendre dans mes bras. Je l’embrasse d’un baiser d’amour. Nous sommes toutes collantes de sperme. Il n’y a pas une seule parcelle de nos corps qui n’en est pas recouvert. Nous en avons mêmes sur les cheveux, les bras et le dos. Notre peau est dégoulinante de foutre. — Qu’est-ce que tu en dis ? fais-je à ma sœur à propos de ce coup de téléphone. On s’arrête là ? Où on attend les autres ? On n’a qu’à les envoyer chier si tu n’en as plus envie. — Je… Je veux continuer, répond-t-elle. J’ai juste besoin d’une pause. — Moi aussi, fais-je en gloussant. Sa réponse me surprend, je pensais qu’elle aurait eu son compte. Je ne l’ai jamais vu se comporter en trainée comme ça. Ça m’excite, je me sens moins seule. Quel qu’aurait été sa réponse, je l’aurais suivie, je refuse de faire quoi que ce soit sans elle. Nous nous reposons un peu, et reprenons peu à peu nos esprits. Environ vingt minutes plus tard, un nouveau troupeau d’invités débarque dans notre chambre. Le timing est parfait, nous venons juste de reprendre assez de force. — Bonjour les garçons, fais-je pour les accueillir. — Waow ! Putain ! Il ne déconnait pas ! fait l’un. — Les salopes, elles ne se sont même pas lavées depuis tout à l’heure, elles sont toujours couvertes de foutre, ...
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