LA BOITE DE NUIT
Datte: 11/12/2017,
Catégories:
Lesbienne
Partouze / Groupe
... reprenant ses esprits, pendant que je m’habille. Je devrais reprendre une douche, mais l’idée de sortir avec l’odeur de ses sécrétions sur moi ne me déplaît pas. Je passe un collant et j’enfile une nouvelle robe, noire, courte et très collante.Elle se reboutonne, et se redresse.— La nouvelle boite ?— On va essayer.On en a parlé dans la semaine. Il y a une nouvelle boite de nuit à la sortie de la ville, on a envie d’aller y passer un moment. Rien de bien original,certes, mais on veut juste s’amuser un peu. Peut-être ramener un gars, mais ce n’est pas notre objectif premier. On est autonomes, sinon on finira la nuit toutes seules.Avant de passer la porte, on s’embrasse. Je ne saurais dire qui a eu le premier mouvement, on agit souvent de concert, nos bouches se collent l’une à l’autre, nos langues se trouvent, se frottent et on gémit, nos sexes moites.On avance dans la ville. Il est neuf heures du soir, en ce mois de mai les soirées sont beaucoup plus longues, et beaucoup de gens sortent. On sent le regard des hommes sur nous. Mais nous savons que nous sommes belles et désirables.On habite à la sortie de la ville, la discothèque se trouve là, et on n’a pas à beaucoup marcher pour y arriver. Notre trajet a été une haie d’honneur, toujours flatteuse, entre regards collants et un ou deux « T’y es bonne ! » C’est toujours agréable de séduire des hommes, même si certaines ne l’admettront jamais.Rien ne ressemble plus à une boite qu’une autre boite. C’est d’ailleurs pour cela que ...
... Charline et moi nous préférons d’autres loisirs le vendredi soir. Un parking, des jeunes qui se tiennent à l’entrée, deux physionomistes. Il faut croire que nous sommes dans la norme attendue puisque nous pouvons pénétrer à l’intérieur.Bien que blasées, nous sommes agréablement surprises. L’endroit est immense, avec une grande piste de danse. Le DJ est aux platines et il joue une musique électro qui nous plaît immédiatement. On part sur la piste de danse. Notre premier objectif, quand nous allons en boite, c’est de danser. Trouver dans le rythme un moment d’apaisement, de joie, oublier le stress de la semaine. On se cale au milieu des autres danseurs et on s’agite. On laisse la musique nous guider, jusqu’au moment où Charline me dit :— Il faut que j’aille faire pipi. Tu m’accompagnes ?Dans ce genre d’endroit les filles restent toujours par deux, pour éviter les mauvaises rencontres.On demande à l’employé du bar, qui nous dit qu’il faut monter les marches de l’escalier qui est en face de nous, ce qu’on fait. On débouche sur un palier, il y a une enfilade de cabines, sans signe distinctif. Pas de côté mâle ou femelle. Cela ne nous arrête pas, et nous nous y engageons. Une fille sort justement d’une cabine. Elle a une robe très courte, qu’elle redescend le long de ses hanches, pour couvrir une intimité que j’ai aperçue l’espace d’un instant. Elle croise mon regard et devient toute rouge. Est-ce qu’elle s’est fait prendre par un amant ou une maîtresse dans la cabine ? Après tout, ...