Un sacré dépucelage (1)
Datte: 11/12/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
Mon dépucelage Tout d’abord, je me présente : je m’appelle Béatrice, j’ai la cinquantaine, mais à l’époque des faits, je venais d’avoir 18 ans. Pourtant, cela faisait maintenant plusieurs années que j’avais une envie frénétique de sexe sans vraiment savoir en quoi cela consistait exactement. Je sentais bien la chaleur envahir mon bas-ventre lorsque des garçons « jouaient » avec moi, en me caressant les fesses sans y laisser paraitre… Moi, je mouillais ma culotte sans savoir non plus vraiment d’où cela venait, mais cela me procurait beaucoup de bien. J’aimais cela, c’était sûr. Mais comment faire « pour en savoir plus » ? Plus les années passaient et plus mon envie grandissait. J’étais très demandeuse mais les garçons ne me prenaient pas au sérieux, jusqu’au jour où… A cette époque, j’habitais la cité des 4000 que les franciliens connaissent au moins de réputation. Une cité qui à cette époque n’était pas aussi glauque qu’elle le fût sur la fin. Dans cette cité, il y avait des caves et mes parents m’avaient toujours interdit d’y aller. Mais les interdits ont souvent une saveur particulière lorsqu’ils sont transgressés. Un jour d’avril, pendant les vacances scolaires, je défiais un groupe de 6 jeunes hommes en leur disant que j’avais entendu dire que les blacks (c’est comme cela qu’on les appelait sans connotation raciste) avaient « des attributs particulièrement avantageux ». Le problème, c’est que, toujours vierge, je ne savais même pas ce que le mot « attributs » signifiait. ...
... J’avais entendu ma mère dire cela un jour à une de ses amies. Le groupe de garçons a dû se sentir quelque peu flatté et n’a pas pu s’empêcher de répondre que « pour vérifier, il fallait venir avec eux dans les caves de l’immeuble ». Ne voyant pas où était le mal, je leur dit OK, sans vraiment trop savoir ce qui allait se passer. A l’époque, je mesurais un mètre soixante-quinze et je pesais 65 kgs. J’étais brune et j’ai toujours pensé que j’avais un très joli petit cul et des seins qui ne laissaient indifférents ni mes copines (peut-être un peu jalouses), ni mes copains ou même encore les hommes que je croisais régulièrement dans la cité. Pourtant, il ne s’était jamais rien passé avec un garçon. Eh bien là, sans le savoir, les choses allaient considérablement changer. Le groupe de blacks passe devant moi et me demande de les suivre si j’étais toujours OK pour vérifier mes dires. Nous marchions en direction des caves de l’immeuble lorsque nous sommes rentrés à l’intérieur. C’était des immenses caves. Un vrai labyrinthe. Je découvrais les lieux lorsqu’à peine rentrée, je sentais déjà des mains me parcourir le corps : plusieurs mains sur mon petit cul, mes seins y avaient droit également alors que les plus téméraires me caressaient l’entre jambes. Largement consentante, je n’ai rien fait pour empêcher cela. C’est alors que je me suis aperçue que ma petite culotte était trempée. On s’arrêta tous devant une cave que mes nouveaux amis semblaient connaitre particulièrement bien. En ...