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La montagne des pins
Datte: 03/01/2021, Catégories: Première fois Vos histoires
J'étais en cinquième dans une école de curés en demi-pension. Tous les jeudis nous avions promenade à quelques kilomètres de Limoges. Je me souviens c'était en mai, il faisait très beau, nous vivions ne short. Je faisais équipe avec Bernard que je connaissais depuis la sixième. Bernard est un petit blond, mèche sur le front et un corps un peu chétif. Nous nous entendions bien pour faire des blagues dans cette école privée. Nous formions un binôme parfait. Arrivés sur les lieux appelé "La montagne des pins" où il n'y avait que des chênes d'ailleurs, Bernard me dit : "allez viens avec moi on va grimper sur le plus grand chêne de la forêt, ce qui nous permettra d'observer toute la campagne environnante. Il avait toujours de bonnes idées ce Bernard. Je le suis donc et il finit par me désigner le chêne à escalader. "J'y vais" dit-il et il commence à faire quelques acrobatie pour prendre la première branche. Je le suis, lui passe à la branche suivante et moi de prendre celle qu'il venait de quitter. Nous étions déjà très haut et perdu dans le feuillage qu'il m'incita à continuer. Nous étions seuls au milieu de cette verdure et personne ne pouvait nous voir. Bernard, pour atteindre l'ultime branche de l'arbre dû écarter les jambes fortement et je vis son sexe sortir de son slip. Vu de dessous ça paraissait amusant et c'était la première fois que je voyais son oiseau. Il avait dû s'en apercevoir et surtout que je le vois. je ne manquais pas de lui dire ; "Bernard j'ai vu tes ...
... roubignolles". Vexé, il me dit "tu n'as pas le droit de regarder, tu es dégueulasse !" Je lui répondis : "pourquoi dégueulasse ?" Il était obligé de tenir sa position car en équilibre et ne voulait pas tomber, ce qui aurait été fatal. "Ecoute, me dit-il, si tu as vu il faut que tu me montres aussi". "Ok, ne bouge pas". J'ai approché ma main et j'ai longé sa cuisse jusqu'à l'objet du désir. Il s'est mis à bander aussitôt et moi aussi. Je caressais ses petites boules et son petit zizi et son prépuce. "Oh oui, continue me dit-il, j'aime ta caresse". Je l'ai bien caressé et j'ai tiré sur le prépuce pour le décalotter. "Vas doucement, je suis très sensible du bout". Ce bout luisait et tout près de mon visage, moi resté sur la branche du dessous. Je tirais la langue et je commençais à titiller le méat de son gland. Il respirait fort et lâchait quelques petits gémissements. J'ouvris grans la bouche et gobais ce petit gland un peu pointu. "Oh que c'est bon ce que tu fais là !" Je le suçais doucement puis je sentis ma bouche s'emplir puis arriver quelques jets de sperme que j'avalais aussitôt. Il avait lâcher une main de sa prise et de l'autre me maintenait la tête pour que je ne m'échappe pas. Il se vida complètement dans ma bouche, ce n'étais pas important mais je me délectais. Puis doucement il me repoussa pour que je lâche prise. Son sexe avait perdu de sa consistance et était recouvert d'un mélange sperme-salive. "Bon aller, viens à ma place". Je l'aidais à descendre sur ma branche ...