Souper entre amis - Histoires de Sexe

Souper entre amis

... tu lui mangeais le cul tout à l’heure.— À condition que ce soit toi qui lui prépare son petit trou, bébé. Sylvie était aussi assise face à Stéphane, l’embrassant. Ils se chuchotaient des choses qui semblaient drôlement les exciter. Ma main se dirigea sur le sexe de mon mari. — Je savais que si je te parlais du beau petit cul de Sylvie, je te ferais bander, dis-je amusée, en caressant son membre dur.— Tu connais mes points faibles ma coquine, dit-il en enfonçant son majeur dans ma chatte brûlante. Je cambrai mon corps vers l’arrière, sa bouche courut sur mon cou, sur mes seins. — Je te laisse manœuvrer bébé, surprend-moi, me glissa mon mari à l’oreille. Je l’embrassai sur la bouche, puis je me levai pour me diriger vers notre couple d’amis, enlacés. Arrivée devant eux, je m’assis à leur côté. Ils me regardèrent en souriant. — Tu as lu dans nos pensées, commença Stéphane. Je viens de dire à ma belle Sylvie à quel point tu goûtais bon et elle m’a dit qu’elle aimerait ça te manger, elle aussi. Qu’est-ce que t’en penses ?— Hum, je ne peux pas refuser une offre comme ça ! Moi aussi j’ai une proposition pour toi Sylvie, dis-je en lui saisissant la taille, est-ce que tu aimerais ça, te faire enculer par mon Philippe ?— Me faire enculer par Philippe ? reprit-elle en lui lançant un regard affamé.— Tu as eu l’air d’aimer ça, quand il te mangeait les fesses tout à l’heure. Lui, il est déjà bandé juste à imaginer sa queue dans ton petit trou… En fait, il y a juste une petite ...

... condition…— Ah oui ? Laquelle ? demanda-t-elle avant de déposer ses lèvres fiévreuses sur les miennes.— Il voudrait que je suce ton cul pour le préparer, murmurai-je l’embrassant à pleine bouche. Son mari se pencha pour se joindre à notre baiser. Philippe se leva et s’approcha de nous. Nous l’embrassâmes à son tour. Nos quatre corps agglutinés, nos langues se butinant, c’était terriblement excitant. Je me défis cependant de leur étreinte pour m’étendre et m’offrir à la bouche de Sylvie. Elle s’installa par-dessus-moi, en 69. Sa bouche s’empara de ma chatte, en aspirant et en faisant des mouvements de va-et-vient. Je poussais mon bassin vers elle. Le désir était présent partout dans mon corps. J’écartai ses deux fesses de mes mains, et commençai à licher tout le pourtour de son anus. Puis doucement, j’entrepris de titiller son petit trou. Comme par magie, je le vis se détendre. Excitée, j’y entrai ma langue et la poussai en la tournoyant. Elle gémissait. Je gémissais aussi car elle me mangeait vraiment bien, et je me sentis jouir dans sa bouche. Lorsqu’elle eut pris toute la liqueur que je lui offrais, elle s’installa face contre terre, les fesses bien hautes et dit à mon mari : — Allez, viens mettre ta queue dans mon cul. Je suis prête, ta femme a une langue du tonnerre. Il ne se fit pas prier et après avoir mit un condom, il entreprit d’entrer doucement sa verge tendue dans le trou dilaté de Sylvie. Il commença à aller et venir lentement, mais elle l’intima d’y aller plus fort. Il ...