Confession d'un jeune branleur (Partie1) - Histoires de Sexe

Confession d'un jeune branleur (Partie1)

... nouveau profil pour le contacter, je n’ai pas de difficultés à le trouver et lui fait du plat comme la pire des salopes de film de boule et bien entendu il marchait à fond, jusqu’au jour ou il fallait me rendre à l’évidence que je n’oserais jamais allez plus loin, je le laissais donc dans l’ignorance pendant 3 longs mois avant qu’il ne se décide à me téléphoner, je lui explique tout de suite la situation et m’excuse de m’être ainsi moqué de lui que je pensais que c’est ce que je voulais etc… Et lui insistait pour que je le rencontre, mes parents étant bientôt de retour (j’entendais la porte se fermer en bas et l’intimité n’était pas géniale dans cet appart à l’époque) je lui explique donc que je n’ai pas le temps de lui parler que mes parents vont arriver et la il me propose de me laisser tranquille à une seule condition : que je m’enfonce un manche de cuillère en bois dans le cul et que je lui décrive plus tard la sensation que cela m’a fait, je lui promet et raccroche sachant très bien que je ne le ferais pas…Et pourtant…La nuit venue cette conversation me trottait dans la tète et il fallait l’avouer, j’avais très envie de connaitre cette sensation, je me levais donc en douce et me rendit à la cuisine, sortant la cuillère en bois et, comme il m’avait conseillé de le lubrifier avec de l’huile d’olive, je sorti aussi cette dernière, j’ouvris le goulot et enfonçait le manche de la cuillère dans la bouteille, avant de le diriger vers mon anus que j’écartais de mes mains, le ...

... bâton s’approchait doucement, mon cœur battait a 100 à l’heure, ma bouche entrouverte laissait échapper une respiration rapide, j’avais peur, peur oui…Mais j’étais aussi excité : j’allais me faire pénétrer comme une femme, pas par une bite certes, mais j’en avais tant envie, le bout du bâton caressait maintenant les pourtours de mon anus…Et la porte de la chambre de ma mère s’ouvrit à la volée, paniqué je du faire vite pour tout ranger sans qu’elle ne s’aperçoive de quoi que ce soit, je rangeais la cuillère dans l’évier et la bouteille simplement sur le plan de travail, le plus important étant de vite remettre mon pantalon de pyjama, elle m’interrogeait, je répondis que j’avais faim et comme elle n’était pas du genre suspicieuse elle ne s’étonna pas que je n’ai rien mangé au final, je passais une nuit infernale, le lendemain cependant j’avais réussi à dormir et même à oublier les événements de la veille, pourtant en allant aux toilettes le matin pour uriner je sentis quelque chose sur la paroi de mon anus, je le touchais du bout du doigt : un peu d’huile d’olives était restée.Aussitôt tout me revient, bien que je ne l’ai jamais vraiment oublié, je sortis de la toilette et interpella mes parents…Personne, j’étais censé allez en cours l’après midi, je séchais et emmenait ainsi la cuillère en bois et l’huile d’olive dans les WC, je restais ainsi un moment à contempler cette cuillère avant de me décider à baisser mon pantalon et la placer prêt à ma première « sodomie », mais rien ...