Henri sert de modèle à une peintre célèbre (2)
Datte: 13/12/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
HENRI Le modèle préféré des peintres, surtout des dames. SOPHIE Je m’appelle Sophie, artiste peintre, et une cliente m’a passé une commande assez spéciale, elle veut que je lui fasse une toile de nu masculin pour rendre jaloux son mari. Mais ses exigences vont être difficiles à trouver, elle veut que le modèle soit bien membré et que je le peigne en érection. La suite… Le lendemain, nous reprenons de bonne heure. Il reprend la pose et comme hier, je revois l’incroyables spectacle de se sexe se transformant en obélisque de chair. Ma cliente m’a appelée hier soir pour me dire qu’elle veut assister à la séance d’aujourd’hui. Elle se présente dès le matin, je l’a fais entrer. C’est une très belle femme aux longs cheveux blonds et au regard rieur, elle pénètre dans l’atelier, tout cela sous le regard placide de mon modèle tenant la pose sa verge en pleine érection. Je reprends mon travail. Henri prend conscience de la perversité de sa situation. Son excitation n’en est qu’exacerbée. Il s’offre en spectacle, ne laissant rien secret de son corps à 2 belles femmes qui admirent ses seules richesses, sa plastique et sa sensualité, elles ne dévoilent rien en retour dévorant des yeux la marchandise. — Savez-vous, Henri, souligne mon mécène sur un ton badin, que je fais réaliser ce tableau pour rendre mon mari jaloux? Il me délaisse et est très fier de ses attributs qui sont pourtant en dessous de la moyenne. Ca ne fait ni chaud, ni froid à Henri toujours en pleine forme. J’interroge ma ...
... cliente, agacée par ses déclarations. — Pourquoi êtes-vous venue ce matin ? J’aimerais travailler tranquillement et comme je l’entends et vous montrez le résultat que lorsque ce sera fini. — Voyons, ma chère, pourquoi n’irions-nous pas nous occuper de ce jeune homme ? Et puis, il est à mon service après tout. Je trouve son anatomie encore mieux que ce que j’espérais, mon mari va en crever de jalousie, je le verrais bien dans mon lit, pas plus vêtu que maintenant. Vous ne voyez pas d’inconvénient à ce que je soulage un peu ce modèle qui semble manquer d’une aide féminine? — Vous verrez Henri, assure t’elle en s’adressant à lui, vous passerez de bons moments avec moi, et en plus je saurai me montrer généreuse. Appelez-moi Isabelle. Ce faisant, elle s’approche de lui et glisse perversement un doigt entre ses bourses, puis palpe les testicules comme des fruits mûrs qu’on envisage de déguster en bouche. Je m’exclame outrée par les libertés qu’elle prend avec Henri. — Laissez-le ! Vous êtes encore plus perverse que je n’avais imaginé. Vous croyez sans doute que le monde est rempli de personnes qui accèdent à tous vos caprices ? — Oui, bien sûr si on y met le prix. Voyons, mon garçon, à combien estimez-vous la somme que vous jugez nécessaire pour me satisfaire ? Suffisamment, en tout cas, pour vous mettre quelque temps à l’abri de besoin. Je reprends mon travail avec acharnement, agacée par ses manières. Elle glisse la main dans son entrejambe et lui demande. — Je te plais, je te ...