1. Les expériences sexuelles des soeurs Ukazovà (6)


    Datte: 13/12/2017, Catégories: Hétéro

    ... doigts de son anus, déjà lubrifié. Je récupère de la mouille sur sa chatte et en enduit le bout de ma queue. Puis je pose le gland sur l’orifice anal, déjà plus ouvert. Puis je saisis Eva aux hanches et commence à pousser. Je suis partagé entre le désir d’éviter toute douleur inutile à Eva, et celui de pénétrer son anus, coûte que coûte, pour lui offrir sa première sodomie. Eva pousse un petit cri étouffé quand le gland parvient à franchir son orifice anal. Et elle crie pour de bon quand les premiers centimètres de ma queue parviennent à s’introduire dans son anus, en écartant les parois. Heureusement, nous sommes seuls dans cette maison, car il est évident qu’Eva est bruyante en amour… Malgré ses cris, je dois constater qu’Eva ne fait aucune tentative pour interrompre ce qui pourrait être pour elle, un supplice. En fait, elle est partagée entre l’envie d’arrêter au plus vite cette épreuve et celle, sans doute plus forte, d’expérimenter des émois inconnus d’elle… Toujours est-il que, cramponné à ses hanches, je pousse en avant centimètre par centimètre, arrachant à chaque avancée, un cri plus ou moins étouffé, de la part d’Eva, qui laisse donc ma queue envahir son anus. Puis, une ultime poussée, un ultime cri de sa part et ce sont mes couilles qui butent sur les fesses d’Eva : « Nous y voilà ! Pas trop mal, chérie ? » Dis- je à Eva. Eva est en sueur : « C’est gros ! » gémit-elle…mais elle ajoute aussitôt : « Mais ça peut aller ! » Puis lentement, avec douceur, je fais ...
    ... coulisser ma queue dans son fourreau anal. Je sens Eva tendue, et qui serre les dents, jusqu’à ce que, la lubrification aidant, le coulissement s’opère en cadence. Au bout d’un certain nombre d’aller-retour, un changement s’opère et Eva passe des cris à de petits gémissements, qui peu à peu prennent de l’ampleur. Voyant que la chose prend une bonne tournure, je commence à accélérer le mouvement de va et vient. Eva doit être envahie par une onde de plaisir, car les gémissements deviennent plus rapides et cette fois, elle exprime clairement son excitation : « Hummm ! C’est bon…C’est bon… Encore ! Encore ! Ne t’arrête pas ! » Ces mots ont le don de m’exciter et je me mets à la ramoner avec plus d’ardeur. Ses gémissements enflent. Je sens ma queue enserrée dans l’anus d’Eva et ça m’excite encore plus : « Tu aimes ça, n’est-ce-pas ? Dis-moi le encore que tu aimes ça…Que tu aimes sentir ma queue dans ton petit trou ! » « Hmmmm ! J’aime ça… j’aime ça… J’aime sentir ta queue dans mon…. cul » Ose t-elle-même avouer. Puis, au bout de deux minutes j’annonce à Eva : « Chérie ! Je ne peux plus tenir….je lâche tout ! » Je sens mes couilles se vider ; un jus épais qui tapisse l’anus d’Eva, qui en glousse de plaisir. Je reste un petit moment enfoncé en elle, avant de me retirer. Je frotte ma queue, qui s’est ramollie un peu contre ses fesses, pour m’y essuyer. Quand je m’écarte d’elle, je vois son « petit trou »devenu, pour un moment, un orifice béant, d’où un filet de sperme s’écoule jusque sur ...
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