Ma tentation incestueuse (1) - Histoires de Sexe

Ma tentation incestueuse (1)

... des fleurs, au moins, depuis que vous vous connaissez ? m’interrogea mon père. — Ah, euh... oui, très souvent ! mentis-je encore un peu plus. Et tu sais, il m’a même invitée au restaurant. — C’est gentil tout ça ; et vous vous voyez beaucoup ? me demanda mon père. — Mais c’est fini, cet interrogatoire ? m’offusquai-je faussement. J’ai envie de garder tout ça secret. Quel mal il y a à ça ? — OK, me dit ma mère. Donc, tu vois, mon chéri, notre fille est toujours célibataire à bientôt trente ans. Sa vie amoureuse et aussi sexuelle, c’est un vrai désert, et elle refuse de se bouger pour setrouver un mec... soupira-t-elle. Écoute, ma puce, tu ne pensais quand même pas que j’allais avaler tes mensonges, surtout aussi grossiers ? — Mais je... dis-je, tentant lamentablement de me justifier. — Tiens, regarde ton frère, enchaîna ma mère. Lui, il est marié à une jolie femme avec qui il est depuis plus de cinq ans. Je vais bientôt devenir grand-mère et... — Eh ben tiens, puisqu’on parle de la fameuse Sophie, pourquoi n’est-elle pas venue, au fait ? questionnai-je, préparant peut-être ainsi une douce vengeance. — Parce qu’elle ne pouvait pas venir : son stade de grossesse ne lui permet pas de se déplacer de là où elle est. Mais de toute manière, elle nous a assurés que beaucoup de ses amis viennent la voir régulièrement, dont sa sœur qui reste constamment avec elle pour lui éviter d’être seule et prévenir Jeff en cas de pépin. — Et toi, tu me fais grand-père quand, ma fille adorée ? me ...

... questionna mon père. Il va falloir te dépêcher, je me fais vieux. À 55 ans, j’aimerais bien te voir avec ton propre bébé dans les bras. — En plus, t’es en bonne santé, profite. Beaucoup de femmes ne peuvent pas avoir d’enfants ; tu gâches tes chances en attendant ! enchaîna ma mère. — Pitié, ça suffit vous deux. C’est un complot ou quoi ? soupirai-je en serrant les dents, complètement agacée. Vous serez bientôt grands-parents, mais laissez moi juste encore un peu de temps. Tout ceci m’exaspérait au plus haut point. Je n’aimais pas la manière dont mes parents avaient de se mêler de ma vie privée, mais je n’allais pas les envoyer bouler pour si peu. Après tout, ils s’inquiétaient pour le bonheur de leurs enfants ; en quoi était-ce un crime ? Lorsque je leur présenterai un mec, je pense qu’ils me foutront enfin la paix. — Le repas est bientôt prêt. Tu peux appeler ton frère pour qu’il mette la table, au moins ? me demanda ma mère. — Oui, j’y vais de ce pas, dis-je en me levant, me permettant heureusement d’échapper au torrent de questions dont j’étais victime depuis un moment. Je me dirigeai en direction de la chambre de mon frère et frappai à sa porte fermée comme il a l’habitude de le faire. — Frangin ? Tu viens mettre la table, s’il te plaît ? On a besoin de toi. Allez, on va pas tout faire, espèce de gros feignant ! Aucun son ne se fit entendre, malgré mon oreille collée à la porte. Peut-être dormait-il. Je décidai de frapper un peu plus fort et de hausser un peu la voix. — ...