1. DCT, l'agence qui met en scène vos fantasmes (4)


    Datte: 04/07/2017, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... procès entre les deux femmes, arrêté en 2012 . Ces révélations la condamnerait à démissionner et ruinerait à jamais son image et sa carrière. Mais ce n’est pas son but. Il a une autre idée et souhaite m’en faire part. Il a contacté son ancienne maîtresse en la mettant au courant des éléments dont il disposait. Ils ont trouvé un accord afin que rien de tout cela ne sorte pour le grand public. Et c’est pour cela qu’il est venu me voir. Il souhaite que je réalise un film dont lui et l’ancienne vedette seront les acteurs principaux. Le vieillard a la vengeance tenace. Je ne vois pas de raisons valables de refuser sa proposition, puisque la Miss est d’accord. Nous négocions quelque peu et l’affaire est entendue. Le tournage doit avoir lieu dans sa ferme de Vendée où le vieil homme vit seul. Il ne souhaite pas me dire ce qu’il a prévu, condition que j’accepte. Il me demande de venir et de filmer seule. Il ne veut pas d’autres témoins à la scène. Cela fait longtemps que je n’ai pas tenu une caméra, il va falloir que mon assistant me donne quelques cours de rattrapage. L’homme propose de m’héberger à partir de la veille du tournage. Nous tombons finalement d’accord. Je serai là bas dans une semaine le temps de régler quelques affaires. Je trouve facilement la ferme à l’aide de mon GPS. Elle est magnifiquement restaurée. C’est une bâtisse qui appartient au temps des Chouans, toit de chaume, énorme corps central avec deux ailes dédiées aux domestiques. L’intérieur est à l’avenant. ...
    ... Tout le mobilier est d ’époque, rien de chargé, simple mais cossu. Étienne m’aborde avec sa courtoisie habituelle. Il me fait visiter son domaine après que j’ai déposé mes affaires dans la chambre qu’il m’a fait préparer par Robert, son domestique. Ce dernier a la cinquantaine et semble taillé dans la masse, rugueux comme un tronc mal dégauchi. Il voue à son maître une dévotion qui appartient à un autre temps. Robert est plein de ressources car le repas qu’il nous sert est succulent. Après un dernier verre d’un alcool de fruit local, je demande la permission de me retirer. La route a été longue et je sombre immédiatement dans le sommeil du juste. Il a plu toute la nuit et un fort crachin subsiste lorsque j’émerge de mon sommeil. La fenêtre sans volet s’ouvre sur un ciel bas et gris, quasiment hivernal même si nous ne sommes qu’au début octobre. Je descends dans la cuisine où un énorme déjeuner m’attend au salon. Je salue Robert au passage qui joue devant la porte avec un molosse noir que j’avais remarqué la veille, attaché par une large chaîne à sa niche. La pluie glisse sur ses larges épaules mais visiblement le temps maussade n’a aucun effet sur l’homme impassible. Je me demande hier ce qui pourrait l’atteindre. J’en suis là de mes réflexions quand Étienne fait son apparition. Son air réjoui m’indique qu’il entend savourer à sa guise cette journée espérée depuis si longtemps. Nous déjeunons ensemble. A dix heures un taxi s’amène. Nous sortons sur le pas de la porte. Je ...