Face à face
Datte: 14/12/2017,
Catégories:
f,
fh,
couple,
religion,
amour,
fdomine,
dispute,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
facial,
Oral
légumes,
pénétratio,
aliments,
bougie,
fantastiqu,
initiatiq,
hsoumisaf,
... chose qui me dépasse. Je ne suis pas d’un naturel peureux, mais j’avoue que si je ne l’avais pas connue douce, aimante et merveilleusement attentionnée dans les gestes de l’amour, je me détournerais d’elle et la laisserais seule avec ses incantations. Elle ne m’en laisse toutefois pas la liberté. Soulevant la bougie dans laquelle finit de se consumer le pétale imbibé de son sang, avant que j’aie le temps de me protéger, elle fait couler une giclée de cire brûlante sur mon mamelon gauche, celui du cœur. — Bats pour moi, cœur mortel, désire-moi avec toute ton âme, rêve de moi lorsque la nuit descend, viens vers moi, je t’attends, que rien ne retienne, ni vœu ni amour, tu m’appartiens maintenant, ainsi soit-il ! La douleur me tétanise, et je ne peux retenir un cri de souffrance, mais je suis trop surpris pour réagir et tout envoyer valser au travers de la chambre. D’autant que Marine est toujours assise sur moi, et m’empêche pratiquement tout mouvement. Elle ne me laisse heureusement pas longtemps souffrir. Sitôt sa phrase magique proférée, elle inonde ma poitrine d’une giclée de tisane refroidie, ce qui m’apporte immédiatement un peu de soulagement. Puis elle pose ses seins exactement sur les miens, pointes contre pointes, en cherchant tendrement mes lèvres pour un long baiser amoureux. Finalement, elle détache la cire de ma peau du bout des dents, et lèche longuement ma chair meurtrie. La sensation de douleur mélangée au plaisir est particulièrement excitante. Dès qu’elle ...
... sent que je m’apaise un peu, elle prend dans sa bouche un morceau du céleri qui orne encore mon ventre et le mâche longuement, avant de le glisser entre mes lèvres. Je déguste cette pâte aphrodisiaque enrobée de sa salive, en nouveau signe de communion des corps. Dès que j’ai avalé cette première béquée, elle m’en prépare une autre, puis une autre encore. Entre deux, elle rince sa bouche avec la tisane de verveine, qu’elle me fait boire de la même manière, de bouche à bouche. Ses gestes semblent dénoter une volonté de me faire reprendre des forces avant un effort dont elle seule connaît l’intensité. Entre deux bouchées, elle caresse d’ailleurs légèrement ma tige toujours fièrement dressée contre sa cuisse, comme le font les jockeys pour calmer un pur-sang avant le moment fatidique du départ de la course. Une fois ma faim apaisée, et mes forces retrouvées, sans transition, elle s’allonge sur le côté et, s’emparant de mon sexe durci, m’incite à la pénétrer sans plus attendre. Excité par tout ce que je viens de vivre, je l’embroche d’emblée à grands coups de reins, comme un damné. Le sourire que je vois se dessiner sur ses lèvres me laisse penser qu’elle apprécie cette manière impétueuse d’exprimer mon envie d’elle. Pourtant, au moment où elle sent à quelques incertitudes dans mes gestes que je ne vais plus tarder à perdre la maîtrise de mes envies, elle serre ses mains sur mes hanches, et me retient dans mes élans. — Tu sens déjà les effets de mon sortilège, c’est si bon que ça de ...