Rencontre agée (3)
Datte: 15/12/2017,
Catégories:
Divers,
... -« Non, s’il vous plait. Pas ici, pas maintenant… » — D’accord. » Répondis-je un peu vexé. Il me donna rendez-vous le lendemain après-midi chez eux et s’en alla rapidement en me laissant en plan. Je restai sur ma faim, sur une pipe excitante mais ayant le sentiment d’avoir été qu’un jouet sexuel. Je rentrai chez moi. Au moins, je me suis fait vider les bourses. * ** Le lendemain, je me retrouvai donc devant la porte de leur maison, prêt pour une nouvelle expérience excitante. Je sonnai et cette fois-ci, c’est René qui m’ouvrit la porte. -« Bonjour. Veuillez entrer. — Bonjour, merci. Comment allez-vous ? » Répondis-je en entrant dans le couloir. Il m’accompagna dans la salle à manger et m’invita à m’assoir. -« Bien merci. Je voulais m’excuser de ma conduite d’hier. Je suis gêné de la situation. — Je peux comprendre. — Je n’arrivais plus à avoir ou maintenir une érection depuis une quinzaine d’années. Mais, depuis votre rencontre, quand je pense à ce que vous avez fait avec ma femme, mon excitation m’a permis d’honorer ma femme, à deux reprises. — Je suis content pour vous. — La seconde fois c’est parce que j’ai eu comme fantasme de vous voir faire l’amour à ma femme et que vous obéissez à ce que je voulais que vous fassiez. — Et vous souhaitez que je le fasse ? — Cela ne vous dérangerait pas ? — Non — En effet, cela m’exciterait énormément. — Et votre femme est d’accord ? — Oui, l’idée lui plait. Et puis, je lui ai aussi raconté notre entrevue d’hier, comment ça m’a donné ...
... envie. — D’accord, alors. Une question ? Pourquoi êtes-vous parti rapidement ? — Pour tout vous dire, j’étais terriblement gêné de retrouver une érection devant vous, un homme. Et gêné à ce qu’un homme m’excite plus que ma femme. J’avais des choses à vous dire et demander mais je suis parti rapidement, honteux de sentir une érection montée. — Je comprends. Et maintenant, comment voyez-vous les choses ? — Je vais monter retrouver Maryse dans la chambre, la même que la dernière fois. Je vous inviterai à nous rejoindre. — Bien ». Je le regardais gravir les escaliers et disparaitre dans l’étage du haut. Je tendis l’oreille à ce qu’il pouvait se passer en haut. Des bruits de pas, des échanges verbaux étouffés, où, à défaut d’entendre clairement ce qu’il se disait, je reconnus la voix de Maryse. Puis, un « Vous pouvez venir » me donna le signal pour que je vienne les rejoindre. Je montai les escaliers et me retrouvai devant la porte ouverte de la chambre. La pièce était un peu plus lumineuse que la dernière fois. Cette fois-ci, les volets roulants n’étaient pas totalement fermés et laissaient passer un mince filet de lumière permettant de mieux distinguer la chambre. Au milieu d’elle, Maryse était debout, avec pour seul vêtement une paire de bas noir et un bandeau de la même couleur autour de ses yeux. Elle attendait là, devant moi, les bras dans son dos, dans une nudité sensuelle. Sur le côté, assis sur une chaise en bois, René, se délectait à l’avance du spectacle. Il était ...