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Datte: 15/12/2017,
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Entre-nous,
Les hommes,
... esclave adorée , maintenant je vais te faire souffrir pour que tu jouisses en pleurant» Je me blottis dans tes bras, me serrant fort contre toi, et je te réclame la douleur... Une claque éclate, suivie d’une autre, et encore d’une autre…s’alignant pour remplir le silence d’une douce mélodie. Je savais tes mains virtuoses à punir son esclave Ô mon Maître absolu ! Tu te relèves alors et m'annonce le fouet, que tu dois tenir en mains car je sens la lanière de cuir tressé qui glisse sensuellement sur ma peau dénudée... Tu me prends soudain les tétons entre tes ongles et les pinçant sauvagement tu me fais hurler, puis tu y fixes des pinces d'acier dont les dents viennent soudain mordre le téton rosé m'arrachant un nouveau cri que tu masques aussitôt en faisant pénétrer dans ma bouche un baillon boule en caoutchouc dur que tu resserres sur ma nuque et me rend muette pour les coups que j'attends, fébrile et fièvreuse,.. j’ai toujours les yeux bandés, les mains attachées, écartelée sur ce lit... J'attends le fouet, mais ...
... une odeur de cire chaude plane, car toi, mon Maître, tu as du allumer une bougie et je sens soudain la morsure de la cire brûlante sur mon ventre, sur mes seins, sur mes tétons violemment étirés par les pinces d'acier...Je me débats, muette et douloureuse... Tu me fouettes alors avec passion, mon corps se tordant de douleur sous les coups appliqués que tu m'offres Ô mon Maître Adoré... Je sens mon sexe suinter entravé dans sa cage, mon corps n'est que douleur et je hurle muette ma douleur mêlée au plaisir, car je jouis pour Toi mon Seigneur ! Aucune parole, aucun mot n’est venu troubler le rite solennel…on entendait le souffle rauque de nos respirations, l’instant n’existait plus! J’étais comme transportée vers d’autres cieux: le royaume du Plaisir? Aveuglée, muette, entravée, Je gémis, je crie, je hurle…une jouissance jamais connue m’expédie pour la première fois de ma vie, jusqu’à la petite mort… Oh, mon Maître, si tu savais,.. Comme je t’aime., comme je t'adore, comme je te vénère, Ô mon sublime Seigneur Arabe !