1. Roadtrip (4)


    Datte: 15/12/2017, Catégories: Trash,

    Jour #4 Rome, Italie - Igoumenitsa, Grèce 852 km — Pour notre prochaine étape, la Grèce, il nous fallait être au port de Brindisi, dans le talon de la botte qu’est l’Italie, avant 17h. Et comme je voulais tout de même prendre le temps sur la route, nous avons dû nous lever tôt. Nous avons pris un café sur la terrasse, nus, comme d’habitude, et regardé une toute dernière fois Rome, qui comme nous se réveillait tout juste. Nous avons rapidement fait nos affaires et nous sommes préparés à partir. Après une longue réflexion, Nina a finalement récupéré sa culotte sale de la veille, au lieu de la jeter comme elle voulait le faire. Elle m’a dit qu’elle ne la porterait plus, mais qu’elle la gardait comme un trophée. A ce rythme-là, elle aurait une sacrée collection de trophées. Puis nous avons repris la route, direction le sud. L’itinéraire pour se rendre à Brindisi était assez simple, mais je n’étais pas du genre à aimer les itinéraires simples. J’avais envie de revoir la baie de Naples. J’y étais allé en voyage scolaire et en était tombé amoureux, ainsi que de Laure, une de mes camarades, qui a été la première à autoriser ma main sur son sein. Il était donc compréhensible que Naples m’évoque tant de bons souvenirs, et que je veuille y retourner. Cela nous rajoutait 50 minutes de trajet, mais nous avions le temps. Aux abords de Naples, j’ai posé ma main sur la cuisse de Nina pour la réveiller. Elle s’était endormie très vite après notre départ. Elle a sursauté, me demandant ...
    ... combien de temps elle avait dormi, et je lui ai simplement dit de regarder la ville. Nous ne la voyions que de loin, rentrer dans le centre-ville en van aurait été du suicide. Mais le peu que j’ai pu en voir me ravissait. Ce qui n’était visiblement pas le cas de Nina, qui m’a demandé pourquoi j’aimais tant cette ville. J’ai alors dû lui raconter l’histoire de mes premiers émois avec Laure, et de comment ma main avait glissé dans son soutien-gorge, à la découverte du corps féminin. _ Tu n’as pas été plus loin qu’un sein ? _ Non, on était encore jeunes et pas très mûrs, lui ai-je répondu avec un sourire. Nina, quant à elle, avait l’air agacée. _ Est-ce que tu serais jalouse d’une amourette vieille de plus de dix ans ? _ Non, pas du tout, m’a-t-elle répondu un peu sèchement. Mais si tu veux, je peux t’aider à associer d’autres souvenirs à Naples. Des souvenirs plus pimentés qu’une simple main sur un nichon. La jalousie de Nina me faisait rire, elle était constamment exagérée. Mais j’en ai profité, et j’ai accepté son offre. Nous avions le Vésuve à notre gauche lorsque j’ai quitté l’autoroute. J’ai suivi les routes qui me menaient au volcan, et une fois un peu en hauteur, j’ai pris le premier chemin un peu discret que j’ai trouvé. J’ai arrêté la voiture sur le bas-côté, au bout de la route, et je suis sorti admirer la vue magnifique sur la ville et la baie. Nina est sortie de la voiture une minute plus tard et est venue regarder le panorama avec moi. Je l’ai prise dans mes bras, et ma ...
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