Jean-Marc et Angélique
Datte: 15/12/2017,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
— Viens en moi, je te veux.— Je veux bien mais mon pneu est à plat, il va falloir le regonfler….— Mon pauvre petit…fais moi voir ça…. Elle s’assoie sur le haut de mes cuisses, prenant mon sexe de sa main droite, commençant à le caresser, jouant avec mon gland à l’entrée de ses grandes lèvres. Avec un tel traitement, il ne me faut que peu de temps pour retrouver ma vigueur, et elle, un sourire plein d’envie. Elle se penche vers moi et me dit : — Tu sais ?— Quoi ?— J’ai toujours été une excellente cavalière ! Sur ces mots, tenant toujours ma verge, elle s’empale d’un coup à fond. Elle ferme les yeux, pose ses mains sur mon torse et son corps se met en mouvement. Doucement, elle monte, jusqu’à se dégager, et d’un coup sec elle redescend. Je sens son vagin se contracter à chaque descente, son souffle s’arrêter, goûtant la jouissance de cet instant. — Hum…j’aime te sentir en moi, te sentir au fond…. Elle se redresse, accentuant la pression sur mon sexe et se penche en arrière, posant ses mains sur mes chevilles, restant caler à fond et faisant des mouvements de bassin, en avant, en arrière, en cercle. — Alors, je suis une bonne cavalière !— Oui, tu es vraiment bonne !— Je peux aussi être une bonne pouliche… Elle me regarde, dans son regard une lueur de lubricité. Je tends mes mains vers ses seins, les caresse, pinçant les tétons. Je me redresse, prend son cou, la ramène vers moi. Ma bouche se dirige vers ses seins, qu’elle a si beaux et qui me narguent. Je les lèche, les suce, ...
... mordille. Son souffle s’accélère, ses mouvements deviennent plus rapides. Je sens son excitation couler le long de mes cuisses. — Tu aimes que je m’occupe d’eux !— Oui ! Lèche-les ! Mange-les ! Tu sens l’effet que tu me fais ! Nous basculons sur le côté, je peux ainsi, m’occuper de ses seins et de son petit cul, de son si joli petit cul. Je commence par lui caresser les fesses, m’aventurant à la conquête de son petit trou. Il est complètement humide. — Oh oui, prends moi aussi par-là en même temps ! Son souffle est fort, sa voix cassée, elle est au bord de la jouissance, moi aussi d’ailleurs. Je force sur son anus, le doigt rentre avec facilité. Ce n’est donc pas un territoire inexploré. Je sens son vagin se contracter. Elle me mordille le cou. — Baise-moi le cul ! Vas-y à fond ! J’introduis un deuxième doigt, je sens mon sexe rentrer et sortir. Mes doigts s’activent, sortant, rentrant rapidement, entrant en compétition avec mon sexe. — Ouuiii !!….. Son cri a dû réveiller tous mes voisins ! Elle se rejette en arrière, son corps tendu au maximum, emprisonnant mes doigts, m’enserrant en elle. Ses mouvements sont saccadés, son souffle se fait court, elle est en train de jouir, son sexe se liquéfie. Il ne m’en faut pas plus pour jouir en elle à mon tour. — Tu es un amour. Me dit-elle. Nous nous blottissons l’un contre l’autre et sombrons délicatement dans les bras de Morphée. La fraîcheur de l’air me réveille. Je me lève, vais fermer la fenêtre, reviens dans la chambre. Les volets ...