1. Ma seconde femme de ménage


    Datte: 15/12/2017, Catégories: Sexe Interracial, Voyeur / Exhib / Nudisme

    Ma deuxième bonneAprès l’insuccès enregistré avec ma première bonne, j’étais bien décidé à participer plus activement au mode de sélection. Nous eûmes plusieurs fois l’occasion d’interviewer du personnel qualifié mais par très attrayant. À deux occasions toutefois, j’avais le sentiment d’avoir trouvé la perle rare mais le veto de ma femme avait entériné un autre choix, plus modeste mais non dépourvu d’intérêt.Lola était une péruvienne d’à peine 20 ans, très timide, assez mignonne, juste un peu ronde. Malheureusement, son parcours avait été parsemé de situations déplorables et ses employeurs précédents avaient semble-t-il eu avec elle une attitude d’une méchanceté rare. J’allais donc devoir agir avec encore plus de tact et de subtilité.J’avais décidé de mieux préparer mes scénarios et de travailler la bonne en douceur et en prenant tout le temps nécessaire.Après quelques semaines où je ne fis rien d’autre que d’agir en employeur exemplaire, je commençai à pratiquer quelques approches; ainsi un matin, je laissai la porte de la salle de bain à demi ouverte pendant que je m’habillais, sachant que Lola était à distance toute proche. J’étais nu comme un ver, en train de faire mes ablutions lorsque je l’entendis toussoter dans le couloir. J’enfilai vite une serviette éponge autour des hanches et sortis de la salle de bain. En me voyant, elle sursauta, rougit et bégaya un maigre "yé voudrai laver la salle dé bain, misiou" tout empreint d’exotisme. Je voyais ses yeux chercher ...
    ... désespérément un endroit où regarder sans pour autant s’empêcher de jeter quelques oeillades sur mon corps à demi-nu. La blancheur de ma peau ne lui était pas familière et elle semblait étonnée de voir des têtons roses. Elle ne regarda pas en direction de mon bassin, en tout cas, où, clairement il devait apparaître une bosse, naturelle.Je lui répondis que j’en avais presque terminé et elle repartit. Tact et modération, telle était ma devise à présent.J’eus une occasion très intéressante de vérifier ses sens et ses affinités un mois plus tard. Elle était en train de nettoyer les marches de l’escalier au rez-de-chaussée lorsque je me trouvais au second. Je me souvenais amèrement de l’issue négative de ma séance avec la première bonne mais le désir fut plus fort que tout. J’entrepris donc de me déshabiller dans le couloir et de me caresser là, adosser au mur de ma chambre. Il était certain qu’elle devait m’entendre car la cage d’escalier est large et le bruit porte loin. J’étais très excité et mes mouvements rapides, tout comme ma respiration. Tout comme ma première bonne, Lola s’arrêta, manifestement intriguée par les bruits en provenance du second. Par un jeu d’ombres et de lumières, je pouvais voir sur le mur en face de moi qu’elle se contorsionnait pour savoir d’où venait les bruits. J’en fus très émoustillé et mes soupirs, d’abord quelques peu feints, prirent la couleur de l’authenticité! Je ne pus me retenir bien longtemps et explosai là, les jambes tremblantes, l’érection ...
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