Les aventures de Cev
Datte: 16/12/2017,
Catégories:
fh,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
ffontaine,
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
tutu,
amourdura,
couple,
... plus amples, tout en essayant d’être le plus doux possible. Surtout, que le plaisir soit partagé. Je te demande alors de te tourner. Tu es de dos devant moi, et je peux alors regarder tes fesses ; mieux, les écarter pour m’y introduire de nouveau. La résistance est moindre. Tu me laisses pénétrer sans aucune résistance. Tout est mouillé, humide et chaud. C’est une sensation fabuleuse pour moi de sentir mon sexe à cet endroit-là. Que du plaisir. Je te demande si cela va et tu me réponds : — Oh oui, entre deux soupirs. Continue ! Mes mains caressent tes cheveux, tes seins, tes mamelons. Puis je descends vers ton sexe. Il est trempé, le liquide coule sur ma main au fur et à mesure que mes mouvements s’accélèrent et que je viens de plus en plus profondément en toi. Mes doigts caressent ton clitoris, je te masturbe. Tu gémis, tu me dis : — Si tu continues, je vais craquer. Alors je continue. Le plaisir monte en moi. Je ne cesse de me retenir. Mes doigts sont mouillés et je continue. Je caresse ton sexe de plus en plus vite, de plus en plus fort. Le mien est au plus profond de toi, les frissons montent de plus en plus, je sais que je ne vais pas pouvoir résister. Je viens en toi de plus en plus fort et tu as l’air d’y prendre du plaisir. Je t’entends alors me dire : — Viens, c’est trop bon. Et tu gémis. De plus en plus ...
... fort, sans retenue. Et c’est trop pour moi. Je sens les contractions de ton plaisir autour de mon sexe. Alors je me laisse aller. Je lâche prise et c’est un vrai moment d’extase. Quelques secondes seulement, mais elles n’ont aucun prix. Ces quelques secondes où plus rien n’existe en dehors de ton plaisir et du mien. Ces quelques secondes où je ne pense plus à rien, sauf à nous deux. Et à chaque fois la même question : « comment autant de plaisir après tant d’années ? Elle me rend vraiment fou à ce point-là ? » Nous nous prenons alors dans les bras. Sans un mot. Nous avons chaud tous les deux, on souffle un peu. La pression redescend comme tu dis. La moindre de mes caresses te fait frissonner, devient presque désagréable. — No tocar, me dis-tu. Nous fermons les yeux, ensemble. Profiter de ces quelques secondes, de ces quelques minutes d’extase en ce qui me concerne. Profiter de la chance que j’ai. Du plaisir que tu m’apportes, du plaisir que j’ai à te faire l’amour, à te voir et à t’attendre jouir dans mes bras. Ta respiration ralentit. Tu sombres petit à petit et je prends du plaisir à te regarder t’endormir. À t’écouter. Nos corps sont l’un contre l’autre. Nous ne formons plus qu’un. Après tant de plaisir, je ferme les yeux moi aussi. Je sais la chance que j’ai, alors je profite. Et je m’endors à mon tour, heureux…