La pute du campus - Histoires de Sexe

La pute du campus

... l'un que l'autre". "Pour le moment, on dirait que c'est un garçon qui t'excite !". À ce moment là il vint s'asseoir à côté de moi, me prit par les épaules et me roula une pelle d'enfer. Comme une pucelle je me laissais faire. Sa langue tournait dans ma bouche et j'appréciais ce moment là. Sa main passa son mon t.rt pour caresser ma poitrine, mes tétons, puis sa man descendit sur mon ventre qu'il palpa longuement et enfin passa sa main derrière l'élastique de mon short. Tout de suite il prit ma queue tendue qu'il caressa sur toute sa surface. Il haletait, sa bouche parcourut tout mon corps et sa bouche remplaça sa main habile. Tout en me suçant ses mains quittèrent mon corps et sans rien lâcher il se déshabilla pour se retrouver entièrement nu. Son corps aussi menu et aussi lisse que le mien ondulait et il vint se placer en quinconce afin que je le suce en même temps. Sa petite fine arriva sur mes lèvres et je n'eus plus qu'à ouvrir la bouche pour l'aspirer. Sa bouche était géniale et suçait agréablement bien et je m'évertuais à lui rendre la pareille. Soudain il se leva et me dit : "Allez, encule moi". ...

... Il se leva, se mit à quatre pattes en travers du lit, bombant les fesses il se donnait à moi entièrement. Je me mis à genoux sur le sol et j'ai léché son œillet copieusement en cherchant à introduire ma langue. "C'est trop bon, vas-y baise moi !" J'approchais la pointe de ma bite sur sa corolle et sans forcer elle s'enfonça dans son ventre. Il lâcha un petit cri et avança son offrande vers moi. Le tenant par les hanches je l'ai pilonné à plusieurs vitesses, au début lentement puis en accélérant puis revenant à un cadence de croisière.  À chaque fois que j'allais à fond il poussait un petit cri de jouissance telle une femelle. Il mouillait du cul et ma queue glissait allègrement entre ses lobes. Ne pouvant plus me retenir je lâchais tout mon sperme dans le fond de son ventre. Je maintenais la pression et restais immobile au fond.. Lentement ma tige perdit de sa dureté et ressortit du foyer chaud où elle était bien. "C'est tellement bon que je vais resté la dessus mais je reviendrai te baiser"  Quand tu veux lui ai je répondu. 
Je devins rapidement la pute du campus et les garçons venaient pour se vider;