La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°712) - Histoires de Sexe

La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°712)

... presque en position allongée puis bougea ses hanches. Les sensations étaient totalement exquises et divines. Le Maître savait tellement jouer avec mon corps et le faire réagir, qu’une onde de spasmes de plaisirs irradiait toute mon échine. - Lèche la bien, Endymion MDE ! Cette chienne aime ce qu'on lui fait, je peux sentir sa cyprine couler jusqu'à son cul et lubrifier ma bite tellement elle aime se faire baiser comme la bonne chienne qu'elle est ! Entendre les paroles grivoises du Maître m'excita encore plus. Je pensais avoir expérimenté toutes les formes de sensations possibles avec le sexe mais sentir Le Maître en moi et l'esclave mâle en train de me donner du plaisir en même temps avec sa langue était tout bonnement le summum. J'aurais souhaité que cela ne s'arrête jamais mais mes envies passent au second plan par rapport à ceux du Maître qui avait fini par éjaculer dans mon fondement en de puissants coups de reins et de longs jets de sperme, tout en émettant de longs râles de jouissance... Alors que je restais dans cette position, Le Maître sortit en moi et Endymion MDE eut pour ordre de venir lécher mon cul afin d’avaler la semence du Maître qui s’échappait de mon anus. Puis il lécha Le Maître Vénéré sans en laisser une seule goutte afin de nettoyer de nouveau Sa noble verge. - C'est bien mes chiennes ! Maintenant lève-toi Cypris MDE et mettez-vous en position d'attente tous les deux pendant que je m'habille ! Exigea Le Maître. Une fois tous les deux en position, Le ...

... Maître se dirigea vers le dressing. Il s'habilla rapidement et prit les deux laisses qui pendaient à nos cous. Nous traversâmes de longs et beaux couloirs garnis de belles œuvres et de beaux et épais tapis très confortables pour mes genoux. Le Maître arriva dans un grand et superbe bureau, magnifiquement agencé dans une riche décoration avec dans le fond, des somptueuses tentures de soies bordeaux flanquées aux hautes fenêtres donnant une luminosité parfaite. Un immense lustre de cristal trônait sur le haut plafond à la française. Je pus reconnaitre quelques tableaux de grands maîtres accrochés aux murs. Il exigea que nous nous installions debout jambes écartées et mains croisées sur la tête devant Son bureau. Il appuya sur un interphone et appela son Majordome. - Que puis-je pour vous, Monsieur le Marquis ? - J'aimerai un café et que tu m'amènes Ma soumise Laïs MDE et Mon esclave Phryné MDE dans mon bureau maintenant ! - Bien Monsieur le Marquis ! Le Maître s'assit sans se préoccuper de nous. Le Majordome arriva quelques minutes plus tard, tenant en laisse les deux chiennes réclamées. Le subordonné repartit rapidement chercher le café du Maître, en le saluant respectueusement. - Phryné MDE, Laïs MDE, mettez-vous dans la même position que votre frère et votre sœur de soumission ! Levez vos visages, je veux les voir ! dit-il en s’enfonçant dans son grand fauteuil. Vous avez été très obéissant tous les quatre, j'ai donc décidé de vous octroyer un privilège. J'organise une soirée, ...