Plaisirs insoupçonnés
Datte: 16/12/2017,
Catégories:
hh,
fhh,
fplusag,
voisins,
massage,
Oral
pénétratio,
hsodo,
init,
— J’ai l’impression que nos nouveaux voisins arrivent aujourd’hui.— Ah bon !— Oui, regarde, il y a un camion de déménagement au bout de l’allée.— Ah oui.— Ouuhhaa, ils ont l’air d’être nombreux pour faire le déménagement.— Une grande famille, j’espère que ça ne sera pas bamboula night tous les soirs.— Oh arrête, à peine cinquante ans et tu parles déjà comme un vrai vieux, on dirait un retraité.— Pourquoi… tu te prends pour une jeune fille toi, avec tes cinquante-deux ans ?— Ouai, j’avoue, ça commençait à être pénible leurs soirées bruyantes… Notre appartement est pris en sandwich entre deux autres logements de cette résidence. Nos voisins de droite ont un mode de vie assez proche du notre : boulot, dodo, repos le week-end, en revanche, les locataires qui se trouvaient à notre gauche et qui ont quitté les lieux la semaine dernière étaient un couple de jeunes, la vingtaine, super fêtards et bruyants, heureusement, ils ne sont restés que quelques mois. Durant la journée de ce samedi, nous avons jeté quelques coups d’œil à l’agitation des allées-venues de toutes ces personnes qui entreprenaient le déménagement, mais nous n’avons pas su déterminer lesquelles de toutes ces personnes agitées s’installaient à nos côtés. Le lendemain vers midi, alors que nous prenions notre apéritif dominical sur notre petite terrasse, deux jeunes hommes, je dirais tout juste la trentaine, sont sortis de l’appartement qui venait d’être emménagé la veille. Tous deux, beaux gosses et d’une allure ...
... dans l’air du temps, se sont approchés de nous pour entamer la conversation. — Bonjour, monsieur dame, nous sommes vos nouveaux voisins, je vous présente Yann, mon compagnon, et moi, je m’appelle Richard. Un instant sans voix, surpris de constater que nous avions affaire à un couple 100 % masculin, Paul a poliment rétorqué : — Enchanté et ravi de faire votre connaissance, moi c’est Paul et je vous présente ma femme, Béatrice.— Très bien, nous vous souhaitons un bon appétit, à bientôt.— Bonne journée, à bientôt. Les voilà qui disparaissent aussitôt en direction de leur voiture garée au bout de l’allée sur les places de parkings attribuées aux résidents. — T’as vu ça, Paul, on peut dire qu’ils n’ont pas traîné, ils sont vite partis.— Oui, ils ne sont peut-être pas très à l’aise, ils ne savaient pas comment nous pouvions réagir— Ça va, les temps ont changé, ce n’est plus une honte d’être homosexuel.— Ouai…— Oui je sais, t’aimes pas trop ça, les pédés, mais, toi qui es jaloux, vois le bon côté des choses, ils ne dragueront pas leur voisine.— Oui, ce n’est pas faux, je n’ai rien à craindre avec ce genre de mecs, en plus ce sont encore des gamins. Des semaines, des mois passèrent où nos contacts avec ces voisins homos se limitaient à de simples « bonjours » ou « bonsoirs » jusqu’à ce mercredi matin où l’un d’eux semblait vouloir entamer une vraie conversation lorsque nous nous sommes retrouvés nez à nez en sortant de chez nous pour nous diriger vers le parking où se trouvaient nos ...