Réellement cocu 2/2
Datte: 16/12/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Partouze / Groupe
... Agnès ne le voit pas. Dès qu’il a ouvert j’ai vu son regard s’illuminer. Elle l’aime avec passion.Il est très sympa, très « protecteur ». Il m’invite à m’asseoir et demande à Agnès si cela ne la dérange pas de l’aider à apporter l’apéritif. Il explique avec un sourire faux… — Vous savez, je suis célibataire et un homme tout seul ne sait pas faire grand-chose…Ils entrent tous les deux dans la cuisine, et ferment la porte derrière eux. Cela dure longtemps, trop longtemps. Lorsqu’ils reviennent, sans porter la moindre bouteille, Agnès a perdu son rouge à lèvres, ou plus exactement il est barbouillé tout autour de sa bouche et une coulure de sperme souille sa joue et son corsage. Elle me regarde sans expression.J’avais beau attendre une attaque, la brutalité et l’obscénité de celle-ci, soigneusement mise en scène, me bouleversent. Comment peut-elle accepter de m’humilier et de s’humilier à ce point ? Je suis sur le point de me précipiter sur ce salaud et de lui écraser la gueule. Mais je me retiens. Ce n’est pas le moment. Lui pérore, sa chemise complètement ouverte maintenant… — Excusez-nous. Votre femme et moi nous avons appris à nous apprécier. Vous comprenez, entre voisins… Elle est très belle et elle a de gros besoins… Nous ne nous sommes pas vus depuis ce matin, à l’instant, elle a voulu ratt****r le temps perdu…Un silence et puis il décoche sa flèche… — Elle suce très bien. Bon je ne vais pas tourner autour du pot. Agnès et moi nous nous aimons et nous allons vivre ...
... ensemble. Vous, vous dégagez.Je la regarde et je le regarde sans rien dire. Elle est figée mais ne fuit pas mon regard. Elle est d’accord. L’impudence de ce salaud m’impressionne. Mais au fond il a raison. Si je n’avais pas surpris Agnès, si je n’avais rien su, qu’aurais-je dit et pensé ? Le plus probable c’est que sous le coup de la surprise et de la honte j’aurais voulu jouer le mari cocu mais élégant. J’aurais demandé confirmation à Agnès et devant sa détermination, je serais parti. De peur de perdre ma dignité en suppliant ou en menaçant en vain. Je me tais, j’attends… Lui se sent obligé de renchérir… — Vous avez compris ? Vous êtes viré. Elle ne veut plus de vous, de votre bite ridicule et de votre vie de gagne-petit et de loser. Elle veut de l’argent et des bijoux. Moi, j’ai ça.Je me tais toujours, ça le dope, il a l’occasion de bien m’humilier devant Agnès. — Vous gagnez combien par mois ? Je sais même pas à quel boulot de merde. Avec moi elle aura tout. Nous partons en voyage dans le Golfe dans trois jours. Dans un hôtel de luxe avec des larbins pour satisfaire tous vos désirs. Vous lui avez offert mieux que le Formule 1 de Vesoul, vous ? Vous perdez pas tout, vous gardez les enfants. Elle veut être libre…J’ai vu Agnès sursauter, mais elle n’a pas protesté. J’ai ma chance… — Agnès, je t’aime, je n’aime que toi. Tu veux être heureuse sans moi. Est-ce que tu veux vraiment quitter tes filles aussi… Ce mec est un salopard qui veut te vendre comme une marchandise. Tu ne ...