Réellement cocu 2/2
Datte: 16/12/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Partouze / Groupe
... la sortie de prison de ton chéri. Mais rappelle-toi : s’il sort, je le tue.Je suis rentré à Lyon et j’ai appelé le service pour dire que je ne prenais plus de vacances. Ça arrange tout le monde en été. Et le lendemain j’ai repris mon service. Mon adjoint, Hocine, m’a accueilli avec… — Alors tu fais des heures sup ? Tu arrêtes les méchants même en vacances…Son sourire compatissant me montre qu’il sait. Que donc tout le monde sait déjà. Mais personne n’en parle. Du moins devant moi.J’ai bien fait de revenir travailler, je crois que, seul, mes pensées auraient été insupportables.J’ai récupéré les filles à la gare. Elles sont bronzées et pleines de souvenirs de leur colo. Elles ressemblent à leur mère, je ne m’en étais jamais aperçu à ce point. Elles s’étonnent de ne pas voir Agnès. Je suis sur le point de leur dire que nous sommes séparés et qu’elles vont vivre avec moi… Et puis quelque chose m’arrête. — Elle vous attend à la maison de campagne. On y va tout de suite.Je ne sais pas pourquoi j’ai fait cela. Peut-être en croyant que ce geste va me la rendre. Sur la route j’appelle Agnès et lui dis, sans lui laisser le temps de me répondre que j’amène les filles. Lorsque je gare la voiture devant la porte de la maison elle sort mais ne s’approche pas. Les filles courent vers elle. Je pose leurs valises sur le gravier et je remonte dans la voiture. Personne n’a un regard pour moi. Je remets le contact et je démarre. Merde !Je suis sur le point d’arriver chez moi quand je reçois ...
... un appel. J’ai un instant l’espoir que c’est Agnès. Non, c’est Agathe, sa meilleure amie… — Joss. Je voudrais te voir. Je te préviens : c’est pas pour parler. J’ai besoin que quelqu’un me serre dans ses bras. J’ai besoin d’aide. Non, c’est plus simple que ça. Je voudrais que tu me baises. S’il te plaît.Pourquoi refuser ? Moi aussi j’aimerais bien que quelqu’un me serre dans ses bras. — OK. Je serai à la maison dans un quart d’heure. Rejoins-moi.Elle est déjà en bas de l’immeuble quand j’arrive. Elle a l’air un peu hagard. Dans l’ascenseur elle se serre contre moi. Dévore ma bouche. Elle donne une impression d’urgence, comme s’il était vital que je l’embrasse. Et moi aussi j’ai envie de ses lèvres. Nous traversons l’appartement presque en courant. Dans la chambre elle fait voler ses vêtements. Je la regarde sans bien comprendre. Elle est devant moi, nue, aussi jolie que quand nous sortions ensemble, quinze ans auparavant. — Baise-moi Joss. Soit gentil, baise-moi sans poser de question. J’ai besoin de ça. De savoir que je peux être désirable. — Tu es ravissante Agathe… Il n’y a pas de question, tu es désirable…Elle sent cependant ma réticence — Je sais ce que tu as dans le cœur, oublie un peu, caresse-moi doucement comme si tu m’aimais.Nous avons fait l’amour comme des adolescents, comme autrefois, de façon très simple et presque pure. Elle m’a déshabillé, sans chichi, m’a embrassé encore, a caressé mon ventre et mon dos. J’ai effleuré ses seins, ses jolies fesses, cherché son ...