1. Réellement cocu 2/2


    Datte: 16/12/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme Partouze / Groupe

    ... avec Agnès chez vous. Le voisin nous tournait autour, il bricolait à poil dans son jardin sous des prétextes divers… il me parlait dès qu’il me voyait… Bref moi j’étais dispo et (elle me regarde pour juger si elle ne va pas me choquer) sa grosse queue m’attirait un peu. Je n’ai pas eu beaucoup de mecs, tu sais, et, bon, aucun avec un manche pareil. Ça m’intriguait. Bon, il m’a invitée à visiter chez lui et ça s’est fini dans son lit. Franchement, c’est pas un très bon coup. Du style à parler de sa bite en permanence comme si c’était une merveille. Moi je voyais surtout que c’était un brin encombrant et pas meilleur pour baiser. Mais bon, c’était mieux que rien. Agnès était un peu furax de me voir avec lui, elle trouvait qu’il était con et grossier. Mais elle était bien obligée de rester avec nous. Et moi, par jeu, je lui racontais qu’une bite pareille c’était un super pied. Je voyais bien que je la troublais un peu. Nous passions nos soirées tous les trois et je passais la nuit avec le voisin. Un soir, nous avons bien bu, l’ambiance était super et Agnès très gaie. Le voisin a commencé à nous provoquer un peu, en disant que des amies d’enfance comme nous devaient avoir… disons échangé des caresses. Que toutes les filles faisaient ça entre copines. Nous on rigolait en disant que, ben… non. On n’y avait jamais même pensé. Il nous a défiées et a parié que nous ne serions pas capables de nous rouler une pelle. C’est moi qui ai relevé le défi. Je me suis approchée d’Agnès, j’ai ...
    ... pris son visage entre mes mains et je l’ai embrassée. Au début elle était raide, la bouche fermée. Et tout d’un coup elle s’est décidée, elle a ouvert la bouche et nous nous sommes roulé une super galoche. Et puis nous ne nous sommes pas lâchées, le baiser continuait, je sentais ses mains qui me caressaient. Ça me troublait terriblement. Ça durait, ça durait. Elle a glissé ses doigts dans ma fente, a soulevé ma jupe et retiré ma culotte. Et, pour la première fois de ma vie, j’avais la chatte ouverte et une autre fille qui me suçait. Putain que c’était bon ! Aucun mec ne m’a jamais fait cela aussi bien. Ma meilleure amie ! Pendant qu’elle me suçait, je l‘ai déshabillée pour la caresser. Le voisin nous regardait en riant. Puis il s’est approché d’Agnès et a commencé à caresser son dos, son cou. Elle a sursauté et a voulu s’échapper mais j’ai pris sa nuque et je l’ai ramenée à ma chatte en lui disant « Laisse-toi aller. Tu vas aimer. » Voir les grosses mains de ce mec sur le corps d’Agnès m’a excitée de façon folle. Je n’ai jamais fait de partouze. Je n’ai jamais vu vraiment des gens faire l’amour devant moi. Il parcourait tout son corps, glissait dans sa fente, entre ses fesses. Je la sentais se cabrer sous ses caresses, se tordre. Il est passé derrière elle et l’a pénétrée brusquement. C’était trop fort pour elle. Elle a dû jouir tout de suite. C’était si fort qu’elle ne pouvait plus me sucer. Et moi j’avais envie de jouir aussi… Je me suis masturbée juste devant son visage. Elle ...
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