1. Vendanges et petits plaisirs


    Datte: 17/12/2017, Catégories: fh, fplusag, fagée, campagne, volupté, entreseins, Oral hdanus, journal,

    Tous les ans, je prends quelques jours de congés pour aider un ami à faire les vendanges. Dans l’équipe de vendangeurs, il y a une femme d’une soixantaine d’années avec une poitrine phénoménale, qui suscite d’ailleurs toutes sortes de commentaires de la part des vendangeurs pas toujours très fins. Il faut dire qu’elle sait la mettre en valeur sa poitrine. Ses pulls sont toujours décolletés à souhait et elle offre à notre regard le sillon de ses seins qui nous laisse songeur. C’est une femme de taille moyenne, qui, outre ses seins de rêve, possède un corps dont les quelques kilos en trop ne sont pas dénués de charme. Ses fesses aussi possèdent un certain pouvoir érotique… Ce jour là, il faisait particulièrement beau. Il faut dire qu’en Alsace le mois d’Octobre est souvent ensoleillé. Notre vendangeuse, pour être à l’aise disait-elle, portait un petit sweet noir au décolleté plongeant. Nous pouvions tous très facilement apercevoir la naissance de ses deux gros obus sublimes. Elle avait choisi aussi de nous montrer ses deux jambes bronzées, qu’un short en jean mettait bien valeur. Elle savait ; lorsqu’elle marchait, faire rouler ses fesses d’une manière très sensuelle… Avant la pause de 10 heures je vendangeais avec un jeune étudiant qui n’avait rien à dire ; mais, après cette pause, quelle ne fut pas ma surprise de me retrouver avec ma vendangeuse préférée. Nous vendangions à deux par ligne, face à face, afin de ne pas oublier de raisins. Comme ma vendangeuse était bien plus ...
    ... âgée que moi, je lui proposai de faire les rangées du bas car il faut être à genoux et c ’est bien plus difficile. Mais je dois avouer que cette position était stratégique pour avoir une vue imprenable sur son décolleté sublime. Tout en coupant du raisin, tout en parlant avec elle de choses et d’autres, je pouvais admirer sa poitrine bouger devant moi, ses deux seins lourds s’entrechoquer à chaque fois qu’elle coupait une baie. C’était très dur pour moi de garder le rythme de la coupe tant le spectacle qui s’offrait à moi me faisait monter l’eau à la bouche. Je crois qu’elle se rendait compte de mon état, et que cela n’était pas pour lui déplaire ; Plus nous avancions dans la rangée et plus j’avais l’impression qu’elle cherchait à m’en montrer davantage ; Ses seins pendaient à quelques centimètres de mon visage tels deux ballons de baudruche. Arrivés en haut de la ligne, il était midi, l’heure du repas. Pendant que les autres vendangeurs s’installaient autour de la table de camping pour prendre l’apéritif, je remontais la ligne de vigne en sens inverse afin de pouvoir tranquillement passer un coup de téléphone. À deux cent mètres de là, il y avait un beau prunier avec des prunes sublimes. Alors que je commençais à en manger quelques-unes, j’entendis une voix derrière moi: — Tiens, mais c’est mon petit vendangeur tout seul ici, elles sont bonnes les prunes ? Ma voisine de ligne était là, elle me regardait avec un grand sourire, sans aucune gêne et, sûre d’elle même, elle passa ...
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