1. Comment j'ai pu sauter Surloca Zillon (1)


    Datte: 17/12/2017, Catégories: Hétéro

    ... ça oui ! Elle est canon ! – il fait un clin d’œil à la fille- Rocky, faudrait que tu viennes, elle a degros besoins celle-là ! » « Putain ! Le sergent Garcia, il s’est tiré une nympho ! » le rire gras du lieutenant Siffredo retentit à l’autre bout du fil. « Elle s’appelle comment ta gonzesse ? » demande le lieutenant. « Surloca, elle s’appelle Surloca..... »........... « t’es là, Rocky ? » « Sur-lo-ca... c’est quoi ce prénom à la con ? T’es sûr qu’elle ne vient pas d’une autre planète ? T’as vérifié si elle n’a pas trois bras, ou trois seins ou quatre doigts aux mains ? » le rire du lieutenant reprend. C’est mal barré. « Tu sais, elle est à poil devant moi, et elle est tout à fait normale ! Tu viens ? » « Faudrait quand même vérifier : il paraît que des Ebzts ont été parachutés au-dessus de San Antonio, la nuit dernière. Tu devrais contacter le service d’observations des OVNI ! Elle en est peut-être ! » Et il se marre encore. Le sergent Garcia soupire. Depuis qu’il a tapé par jeu, un texte coquin sur sa machine à écrire et mis « Ebzts » au lieu de « Ebats », le lieutenant s’en amuse tant qu’il a fait de ces « Ebzts » des êtres imaginaires, dont il parle à propos de tout et de rien. « Mais, après un silence, il se ravise : « Bon, faudrait que je voie ça de près... ça m’a l’air urgent, hein ? Mais tu as intérêt à ne pas me raconter d’histoires ! Si tu n’as pas envie que tout le commissariat soit au courant... » Le con ! C’est bien du Siffredo ! Faut qu’il les balance ses ...
    ... vannes ! Mais il vient... alors... « Je suis chez toi dans, disons, vingt minutes ! » un déclic. Il a raccroché. Pile, vingt minutes après, le lieutenant Siffredo sonne à la porte ; il a un petit sac à la main. « Alors, elle est où ta dulcinée ? » Le sergent Garcia lui désigne le canapé. « Waouh ! Ben, mon colon ! Tu l’as tirée où, cette divine créature ? Et à poil... prête à servir ! » Le lieutenant est dans tous ses états, ce qui est peu dire, tandis quela bêtese réveille dans les profondeurs de son slip. « Ben, elle est venue déposer plainte pour le vol de son sac, et elle était si désemparée que je l’ai invité chez moi ». « C’est pas à moi que ça arriverait ce genre de truc ! » Le lieutenant s’approche de la fille, assise sur le canapé, les jambes négligemment écartées. Elle se tripote la vulve avec ses doigts : « M’est avis que c’est urgent ! Elle m’a l’air d’être en état d’excitation avancée ! » diagnostique le lieutenant, en se déshabillant. Et quand il retire son slip, Surloca, s’extasie : « Waouh ! Mais il est monté comme un cheval, ton copain ! Quelle bite ! » Maintenant, il bande comme... un âne ; son imposante queue dressée près du visage de Surloca : « Alors, ma poule, il paraît que tu veux de la bite ? Tu vas être servie ! Lève-toi ! » lui dit-il en la tirant par la main. « C’est vrai que tu es bandante... ces nichons, ce cul, cette chatte... on va te fourrer tous tes trous, puisque tu veux ça ! » Surloca ne quitte pas des yeux l’imposante verge du lieutenant, déjà ...
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