1. Tendre initiation


    Datte: 17/12/2017, Catégories: ff, ffh, fbi, hplusag, fplusag, fagée, jeunes, vacances, piscine, amour, fsoumise, fdomine, Oral préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, attache, baillon, fouetfesse, init, portrait, prememois, initff,

    ... n’avait pas été là. C’était un très bel homme, qui m’était sympathique et que je trouvais sensuel. La main de Christine dans ma culotte ne m’aidait pas à rester hermétique à ses insinuations, surtout quand la conversation dériva sur les lesbiennes. André trouvait fascinant de voir deux belles femmes ensemble et Christine rétorqua que c’était le fantasme de tous les mecs, pour faire l’amour à deux femmes à la fois, mais que c’était peine perdue car deux lesbiennes avaient besoin de tout sauf de lui pour se faire plaisir. André était d’accord sur la deuxième partie, mais niait n’être intéressé que par un rapport à trois. Pour lui, le simple fait que deux femmes couchent ensemble, sans l’intervention d’hommes, magnifiait le désir féminin. C’était la preuve que, dans le ventre de ces femmes, brûlait un tel feu qu’elles prenaient les devants pour se satisfaire activement. Et puis c’était selon lui le summum de la tendresse. Quand Christine lui expliqua que les rapports entre femmes n’étaient pas toujours si tendres, André leva un sourcil pour faire remarquer à son amie qu’il venait de marquer un point. La façon dont Christine avait répondu trahissait clairement une implication personnelle sur le sujet. Elle hésita avant de se rattraper en rajoutant «enfin, je suppose », ce qui ne fit que l’enfoncer. Un peu vexée d’avoir été manipulée si facilement, elle s’excusa pour aller fumer une cigarette sur le balcon. André, antifumeur avant la lettre, cantonnait depuis toujours les ...
    ... intoxiqués sur son coin de terrasse. Il proposa de faire un café pendant ce temps et m’invita à l’accompagner vers la cuisine en emportant quelques plats. En fait, nous fîmes plusieurs allers-retours pour débarrasser. À chaque passage au salon, j’apercevais la silhouette de Christine sur le balcon. Un point orange et rougeoyant révélait par intermittence les contours de son visage. J’avais envie de la rejoindre, mais je ne pouvais pas abandonner André. Je restai donc avec lui dans la cuisine pendant qu’il préparait le café. Il continua évidemment son baratin. Qu’il ne s’attendait pas une aussi jolie surprise quand Christine avait voulu m’inviter. Que j’avais beaucoup de classe. Qu’il appréciait ma compagnie et que ma présence enchantait ses regards. Il en faisait trop mais je le trouvais drôle, détendu, comme s’il avait pu m’embrasser sur le champ malgré la différence d’âge ou ne jamais le faire sans que ça le perturbe. D’ailleurs, il ne s’intéressait certainement pas sérieusement à une fille comme moi. Dans son milieu, il devait fréquenter des femmes exceptionnelles. Je ne saurais vous décrire ma réaction quand il s’est retrouvé face à moi et m’a prise par la taille. Je n’ai pas ressenti de répulsion. J’étais détendue, un peu grisée par le vin et l’ambiance, et il me faisait envie. Pas de honte non plus. J’étais fière de le séduire. En revanche, j’ai connu ce jour-là, pour la première fois, la morsure glaciale de la culpabilité. Christine, ma Christine, à quelques pas de là. Et moi, ...
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