À chacune son tour..
Datte: 17/12/2017,
Catégories:
ffh,
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Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
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... doit se moquer de moi, là ! Je tente de me libérer mais n’arrive à rien… Il s’éloigne de Méandre qui commence à s’impatienter, me plaque contre le mur et continue son office. Sa langue s’immisce dans ma bouche. À quoi est-ce qu’il est en train de jouer ? *** Les lumières tamisées, nous sommes nus tous les trois. Anthony semble s’amuser à alterner entre le corps de l’une et le corps de l’autre. Sa bouche passe d’une bouche à l’autre et des petits seins de Méandre à mes seins lourds. Quand il ne s’occupe pas de l’une de sa bouche, sa main prend le relais pour que nous ne soyons pas lésées. *** Debout face au grand lit où nous sommes allongées, Anthony nous observe. Son sexe est érigé, fier et orgueilleux. Méandre a les yeux fermés et ses gémissements se font de plus en plus bruyants. Ses doigts caressant son clitoris gorgé de sang. Les yeux du mâle se posent alors sur moi. Je ne résiste plus et m’approche du bord du lit. — Cesse d’attendre que l’on s’occupe de toi. Branle-toi ! Il est surpris. J’ai été sèche. Méandre vient d’atteindre l’orgasme. Elle tremble. Son corps est traversé par des spasmes violents. Nous la regardons, ébahis par tant de puissance. Son souffle repris, elle nous sourit et prend congé pour se rafraîchir dans la salle de bain. Une fois seule, je peux enfin me laisser aller à ma nature. Je me lève et renverse le mâle sur le lit défait. Son sexe est douloureux. Il a besoin d’aide mais je n’ai aucune intention de l’aider après ce qu’il m’a fait. Sur lui, mes ...
... seins frôlant son torse je décide qu’il est temps de commencer. — Tu t’es amusé, maintenant c’est à moi. *** De longues minutes sont passées pendant lesquelles je me suis amusée à retenir un homme terriblement excité, suppliant pour retrouver la paix. Riant de sa frustration, frôlant ou pressant carrément le gland turgescent. C’est au moment où ses yeux roulent en arrière que je décide de m’empaler enfin. Un cri s’échappe puis un soupir de soulagement. Ses bras toujours maintenus au-dessus de sa tête, je vais lentement. Exagérément lentement. Me soulevant souvent pour qu’il vienne à moi, ce qu’il ne manque pas de faire. Restant en position d’autres fois pour qu’il aille à la vitesse qui lui convient. Ses yeux sont fermés. Il est en sueur. — Montre-moi ta langue. Je m’écarte et viens coller ma vulve détrempée sur cette langue offerte. — Mange-moi comme je le mérite et je te ferai jouir comme jamais. Il s’applique. Lèche, suce, aspire, mordille. Sa langue s’enfonce tandis que ses mains alternent entre mes seins et mes fesses. L’orgasme manque de m’assommer mais j’en veux encore. Il m’allonge et se place lui-même entre mes cuisses grandes ouvertes. Ses mains relevant mes jambes, je suis transpercée. Le souffle court, il me donne enfin ce que j’attends depuis des jours. — Tu n’es pas qu’une dominatrice. Tu aimes être soumise. Être prise comme tu le mérites, profondément. Fort. Je le repousse et me jette sur ce sexe tendu qui me fait connaître les plus beaux outrages. Je lèche, ...