Valérie : l'insoupçonnée (7)
Datte: 18/12/2017,
Catégories:
Hétéro
Je n’ai pas l’intention de contacter rapidement Valérie, même si l’envie est forte. Pourtant, j’attends bien moins que je l’imagine et surtout, la proposition contenue dans le mail de Valérie est aussi excitante qu’inconvenante. Huit jours après notre soirée, Valérie m’écrit que son chef ne peut se rendre à un important séminaire de deux jours dans une ville voisine et il a indiqué à Valérie qu’elle devait s’y rendre à sa place. Elle propose ainsi que je la rejoigne à l’hôtel afin que nous passions la nuit ensemble. Que dire ? Sa proposition m’enflamme et j’"organise" immédiatement mon absence, tant auprès de ma femme que de mon employeur. Ensuite, il faut attendre dix longs jours avant la date du séminaire, durant lesquels Valérie et moi échangeons peu. C’est mieux ainsi et cela évite que je me dissipe. Je parviens tant bien que mal à faire abstraction de cette échéance. Arrive enfin le fameux mardi. La veille au soir, la pression était montée un peu en préparant mes affaires. Elle est ensuite allée crescendo tout au long de la journée. Valérie avait réservé un autre hôtel que celui prévu par son boss. En fin de journée, j’anticipe mon départ du travail et après une heure de voiture, j’arrive devant le petit hôtel sur les hauteurs de la ville. Discret, modeste, mais doté d’un charme certain, l’hôtel semble comprimé entre deux bâtiments modernes et massifs, comme si ses flancs avaient été écrasés et qu’il avait grandit. Il est 17h30, je m’installe au bar et consulte la ...
... presse à disposition. Un peu moins d’une heure après, j’aperçois enfin Valérie. Vêtue d’un pantalon noir et d’un chemisier blanc, elle marche rapidement et elle n’a pas l’air contente. Nous nous faisons la bise : — Je suis vraiment désolée, je devais sortir plus tôt, mais ça s’est prolongé. Je suis venue aussi vite que j’ai pu. Je souris et lui dis que le plus important est qu’elle soit là. Je lui propose de finir mon soda. Nous papotons de tout et de rien puis Valérie se lève et nous allons faire le check-in. Dix minutes plus tard, nous nous embrassons dans l’ascenseur qui nous mène au septième étage. La porte de la chambre est à peine refermée que nous nous enlaçons et nous embrassons comme si c’était là nos derniers instants. Pourtant, alors que j’ai déjà retiré son chemisier et commencé à déboutonner son pantalon, Valérie me repousse tendrement : — Attends. Il faut vraiment que j’aille à la salle de bains. Laisse-moi dix minutes. Je regarde par la fenêtre quand j’entends dans mon dos : — Voilà, je suis toute prête. La jolie brune me coupe le souffle : sous un peignoir court, elle porte un ensemble de lingerie noir trois pièces, composé d’un balconnet, d’un string et un porte-jarretelles joliment transparents. Elle vient lentement vers moi, m’embrasse. J’ai le cœur qui bat à tout rompre. Je ne parviens rien à dire mais tout mon être doit parler pour moi. Valérie s’agenouille, déboutonne mon pantalon et entame une fabuleuse fellation. Elle m’entraine ensuite sur le lit et je ...