1. Une journée extraordinaire


    Datte: 04/07/2017, Catégories: fhh, couple, cocus, fépilée, BDSM / Fétichisme Oral 69, préservati, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, couple+h,

    ... que je lui avais acheté chez Sylvie Monthulé (elle avait osé le mettre, la coquine ; là, c’était clair : elle lâchait prise). Il représentait une corolle avec en son centre un pistil turgescent avec un bout de tige qui pénétrait le vagin, et tout cela était doré à l’or fin. Victor n’en croyait pas ses yeux : elle avait une allure d’Amazone et elle dégageait une assurance et une fierté que je ne lui connaissais pas (je pense qu’elle se savait belle et sexy). Je ne pus m’empêcher de la prendre en photo. Nous portâmes un nouveau toast à cette soirée qui ne faisait que commencer. Je filai à la cuisine pour allumer le four et faire réchauffer ce que le traiteur nous avait préparé. Alors que nous allions passer à table,my love nous demanda : — Tout à l’heure tu m’as dit que j’étais la reine de la soirée ; et en tant que telle, j’ai un premier caprice : je veux que vous quittiez votre caleçon, j’ai plaisir à vous voir nus. Ni une ni deux et nous étions à poil. Je servis l’entrée à ma chérie ; elle en profita pour me caresser les fesses et me malaxer les bourses (drôle d’impression, car normalement c’était plutôt moi qui avais les mains baladeuses). Victor, qui ne voulait pas rester sur la touche, se leva pour lui servir un verre de vin et se faire peloter sa grosse tige au repos ainsi que ses énormes boules pendantes. Le repas se déroula gentiment. La conversation était principalement basée sur ce que nous avions vécu sexuellement parlant, les petites misères et les grandes joies ...
    ... de la vie, puis vint le moment du fromage, et étonnamment personne n’en voulut. Alors que je proposais des gâteaux, Victor me dit : — Dis donc, tu m’avais parlé d’un dessert très appétissant ; j’aimerais bien y goûter.— Quel est donc ce dessert ? s’enquit Aline.— C’est une douceur que tu n’as jamais et que tu ne pourras jamais goûter ! lui dis-je.— Et pourquoi jamais ? Allez, dis-moi ce que c’est. Je me suis avancé vers elle, je l’ai enlacée, et en lui faisant mon plus beau sourire je lui ai dit : — C’est toi notre dessert ; et, crois-moi, il n’y en a pas de meilleur.— Waouh ! Vous me flattez, et surtout je suis impatiente de voir comment vous allez me déguster. Je débarrassai rapidement la table basse du salon, passai un coup d’éponge pendant que mon compère s’attaquait seul à la plus jolie des gourmandises. Il s’était placé derrière son fauteuil et lui massait délicatement la nuque et les épaules, laissant parfois s’égarer ses mains en direction de ses seins qu’il manipulait avec précaution. De par sa position, elle ne pouvait que lui caresser les mollets. Il se pencha sur elle pour l’embrasser dans le cou et en profita pour explorer la fleur pénétrante qu’elle portait comme un string. Elle écarta les cuisses pour que son néo-botaniste puisse caresser sa fleur dorée qui ne risquait pas de faner, tant la petite chatte d’Aline était humide. J’attrapai à nouveau mon Canon pour fixer ce si joli moment, celui où l’on peut lire le plaisir dans les yeux, un léger pincement des ...
«12...101112...15»