1. Une journée extraordinaire


    Datte: 04/07/2017, Catégories: fhh, couple, cocus, fépilée, BDSM / Fétichisme Oral 69, préservati, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, couple+h,

    ... bouche. Elle passait de l’un à l’autre pour notre plus grand plaisir. Au bout de quelques minutes, notre complice vint se positionner derrière Aline avec la ferme intention de la prendre. Il s’équipa d’un préservatif. Nous nous sommes reculés au bord du lit pour faciliter la manœuvre et il la pénétra sans le moindre problème, tant le terrain était propice. Alors que je me délectais du nectar de ma nymphe, je vis ce gros pénis prendre toute la place ; et lorsqu’il fut au fond de sa grotte, j’avais ses grosses bourses pendantes qui vinrent se poser sur mon front. J’essayai de me dégager, mais elle pesa de tout son poids pour me maintenir dans cette position en me disant : — Toi qui aimes voir, tu es aux premières loges, et tu voudrais t’en aller ? Continue donc à me lécher comme tu sais si bien le faire. Je dois avouer que voir ce gros chibre qui entrait et sortait d’aussi près était particulièrement excitant ; je ne fis plus cas des balloches sur mon visage et m’appliquai à caresser de ma langue le capuchon où son clitoris commençait à durcir à nouveau. Je proposai à mon acolyte d’échanger nos places, ce qu’il accepta de bonne grâce, et je vins à mon tour me placer derrière ma chérie. Je pris un préservatif, et Aline, intriguée, me dit : — Qu’est-ce que tu fais ? Pour toute réponse, je pris le gel et badigeonnai copieusement son anus, insérant un doigt puis deux, et enfin je posai mon gland à l’entrée de son œillet. — Je comprends mieux le pourquoi de la capote ! me dit-elle. ...
    ... Elle était tellement bien lubrifiée que je n’eus aucun mal à la sodomiser. Devenu spectateur, Victor ouvrait grand ses yeux, et je suis certain qu’il aurait payé pour être à ma place. Ma déesse poussait des petits râles étouffés par les va-et-vient de la queue de notre invité. Je m’enfonçai le plus loin que ma verge le permettait et je restai ainsi, savourant cet instant. C’était elle qui bougeait à son rythme ; je sentis mon plaisir monter d’un cran. Elle se dégagea, prit un préservatif qu’elle enfila sur le membre de notre complice et lui demanda de s’allonger dans l’autre sens. Je la regardai, curieux, et la vis se mettre à quatre pattes au-dessus de lui et s’empaler sur ce pieu qui se mit à la ramoner frénétiquement. Elle haletait comme une petite chienne. Qu’est-ce qu’elle était belle, rayonnante de plaisir ! Soudain elle se bloqua et me dit : — Prends-moi par derrière ! Mais vas-y doucement. Encore un peu de gel et je la pénétrai délicatement. Quand je fus enfin tout englouti, nous restâmes une petite minute immobiles. Je sentais la queue de Victor contre la mienne, séparée par une simple paroi de chair ; c’était étrange. Aline bougea son bassin tout doucement ; on la laissa faire. Son mouvement s’accéléra de plus en plus, et nous coulissions à l’unisson ; ses râles montèrent en volume, ce qui déclencha chez moi une envie de jouir, là, maintenant, et je lui annonçai : — Mon amour, je viens ! Elle me cria : — Vas-y mon bébé, encule-moi, vas-y, ne t’arrête pas ! Ses mots ...