Une journée extraordinaire
Datte: 04/07/2017,
Catégories:
fhh,
couple,
cocus,
fépilée,
BDSM / Fétichisme
Oral
69,
préservati,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
couple+h,
... j’aime bien cette manière de faire. Nous nous sommes endormis l’un contre l’autre. Samedi 28 septembre 2013, il était 8 heures du matin et j’étais allé chercher du pain frais que mon amour affectionne pour son petit-déjeuner. Je m’étais appliqué à installer sur la table de la salle à manger un joli bol pour son café, un petit pot de lait, du pain encore chaud, du beurre et de la confiture à la figue avec des éclats de noix que l’on avait ramenée de notre séjour en Corse, un verre à pied pour le jus d’orange, et voilà une belle petite table que ma chérie apprécia à sa juste valeur et m’en remercia d’un baiser langoureux. Nous sommes partis pour notre séance de hammam qu’Aline a beaucoup aimée. Moi, entre la chaleur de la vapeur, la vue du corps nu de ma belle et la soirée que j’imaginais torride, eh bien je bandais comme un taureau ; et pour ne rien arranger, elle m’attrapa la queue et la caressa doucement. Je fis de même sur sa jolie petite chatte. Elle s’assit puis posa un délicat petit baiser sur mon gland, un petit coup de langue, et m’offrit une douce fellation. Sachant la journée qui m’attendait, je prétextai le besoin de me rafraîchir pour prendre une douche froide qui eut l’effet escompté car mon érection retomba très vite. Elle me rejoignit sous la douche, et c’est à ce moment-là que la masseuse entra pour nous dire qu’elle était prête. — Très bien ! lui dis-je.— Prête pour quoi ? demanda Aline.— Un massage relaxant pour tous les deux.— De mieux en mieux ; génial ! ...
... Et nous nous sommes fait masser pendant quarante minutes avec une efficacité redoutable puisque lorsque nous sommes sortis, nous étions quasiment endormis, enrobés dans un bien-être proche de la béatitude. Arrivés à la maison, nous avons déjeuné, puis je lui ai dit que j’avais quelques courses à faire cet après-midi et qu’elle n’avait qu’à se reposer et se préparer comme si nous allions sortir ou recevoir du monde. — Tu ne veux pas que je t’accompagne ?— Non, car ce ne serait plus une surprise, et je préfère que tu passes du temps à t’épiler, te coiffer, prendre soin de toi comme tu sais si bien le faire. Vraiment, ce soir je veux que tu te fasses belle comme si tu devais séduire le monde entier.— Le monde entier ? Rien que ça ! Dis-moi plutôt ce que tu mijotes, je te sens bizarre.— Ne t’inquiète pas et fais-moi confiance ; je t’aime, mon amour. Je m’attelai au nettoyage de la maison : aspirateur, serpillière, et au bout d’une heure je partis chercher le repas chez le traiteur, un bouquet de roses blanches et revins vite car je devais me préparer à mon tour. Le temps passait à une vitesse folle. Alors que je dressais une jolie table, Aline, qui était encore en peignoir, me demanda : — Pourquoi mets-tu trois assiettes ? Je restai une longue minute à la regarder (en me traitant de tous les noms) puis finalement je lui dis : — C’est un invité surprise, que je vais aller chercher pour 19 heures.— Tu plaisantes !— Non, pas du tout !— Mais tu aurais pu me prévenir : je ne suis pas ...