La rupture : 2éme partie
Datte: 18/12/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... J’attends la fessée. Rien J’ondule du croupion., comme si je le suppliais de commencer Une première cinglée s’abat. Enfin ! Pierre ne me ménage pas ; il me fait subir un panaché de cravache, de martinet, de tawse. Mon cul me brule. Mes seins, étirés par les lests et ballotant sous mes ruades me lancent. Je subis mon amour. J’ai mal, je geins en bloquant ma mâchoire. Les larmes coulent Puis soudain, sous une fouettée plus appuyée, j’ai un flash, le safeword n’aurait servi à rien, mon amant saura s’arrêter à mes limites. Je n’ai qu’à lui faire confiance. Une cinglée gicle entre mes cuisses, Je me cabre, foudroyée par la brulure de mon clitoris. Une pause, Pierre me relève doucement puis m’agenouille devant lui. Il est nu, superbe, en pleine forme. Il s’empare de ma queue de cheval et pousse mon visage vers son membre. Un instant, j’ai peur d’avoir choisi un anneau trop petit, et qu’il ne puisse pas passer à travers. Il m’embouche, son gland s’arrête un instant pour se faire caresser par ma langue. Puis il pousse sur ma nuque pour atteindre ma glotte. J’étouffe, il se retire. Son membre me semble énorme. Il se recule. Mon tortionnaire adoré me relève et me courbe à nouveau sur le fauteuil. Du coin de l’œil, je le vois s’emparer de la cravache. La fin de mon supplice n’est pas loin, mais j’ai une dernière épreuve. Je la désire depuis si longtemps. Demain en m’asseyant, je sentirai à nouveau la marque de ma possession. Une caresse fugitive sur mon postérieur, puis une plus ...
... appuyée, je suis impatiente, je frémis La tige flexible court sur toute la surface de mes rondeurs. Puis il ajuste sa visée en appuyant un peu au-dessus de la zone où les fesses et les cuisses se rejoignent, juste à l’endroit où mon séant se pose sur mon siège. Lundi l’assise sera douloureuse, je grimacerai en m’appuyant dessus, puis au cours de la semaine, la sensation glissera de pénible à agréable, comme une sensation de chatouille. Et puis quand la marque sera résorbée, il me restera l’attente et le phantasme d’un nouveau marquage. Dans ma tête, tout se passe au ralenti, d’abord un sifflement puis la tige de la cravache s’incruste dans ma chair avec une sensation de coupure. Puis la douleur si intense que j’en ai le souffle coupé Sans le bâillon, j’aurais hurlé, puis comme un écho, le sang afflue vers la zone endolorie, je ressens une pulsation douloureuse à chaque battement de mon cœur. Je sens ma liqueur couler le long de mes cuisses, je mouille sous la souffrance. Ou est-ce le bonheur d’être enfin totalement à mon amant adoré. Je souffle, j’essaye de maitriser l’emballement de mon pouls. Je n’ai pas le temps de récupérer, mon bourreau écarte mon cul, et pousse son gland sur mon œillet. Je me laisse envahir. Voilà, j’ai les seins torturés, je suis liée, bâillonnée, fouettée, marquée, et enculée. Qu’est-ce qu’une honnête femme peut rêver de mieux ? Je me donne totalement à mon homme, je suis heureuse Sous ses coups de butoirs, qui me ramonent l’anus et la douleur irradiant de ...