Le séminaire - Partie 1 - Jeu dangereux
Datte: 19/12/2017,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
hotel,
voyage,
douche,
nopéné,
extraconj,
... étaient plus désinvoltes que d’habitude, j’étais surpris de son comportement. Je plaçais ça sur le ton de l’humour, cependant un début de doute apparut. La semaine suivante tout continua comme si de rien n’était, dont ma petite opération séduction. Cependant, la situation de son couple se dégradait à grande vitesse et un matin elle arriva très triste. Elle passa l’ensemble des sessions, soucieuse, àtextoter. À la fin de la journée, elle nous annonça que son homme venait de faire ses affaires et de quitter le logement. Décidant qu’elle ne devait pas rester seule, nous l’invitâmes à dîner chez nous. Cependant, le moral n’y était pas et au bout d’une demi-heure, elle s’isola dans la chambre de mon colocataire pour pleurer. Je la rejoignis pour tenter de la consoler, tout d’abord en discutant avec elle, mais les paroles restèrent sans effet. Je la pris donc dans mes bras puis, instinctivement, commençai à lui faire des bisous. Tout d’abord sur le haut du crâne, puis sur le front, puis sur les joues là où perlaient ses larmes. Elle se laissait faire et ce traitement semblait l’apaiser. — Ça va mieux ?— Je n’ai jamais eu autant de bisous d’un coup, donc ça va ! Je continuai donc mon traitement, lui embrassant toujours le front, les joues, continuant à descendre, à sentir son parfum fruité, envoûtant, jusqu’à ce que le coin de me lèvres chevauche légèrement les siennes. Toujours pas de réaction, je retente un deuxième baiser « ambigu » et aucune désapprobation. Son visage est entre ...
... mes mains, je suis touché par cette belle fille triste qui ne me rend pas indifférent et, cette fois, j’y vais franchement, mes lèvres contre les siennes. Elle lève alors légèrement la tête pour en redemander et nous continuons à nous embrasser tendrement d’abord uniquement avec nos lèvres, puis, avec autant de tendresse, nos langues viennent s’entremêler. Cette situation inattendue m’émoustille. Je sens un début d’excitation dans mon jogging « maison » et une petite bosse se forme, inaperçue heureusement. — C’est n’importe quoi, murmure-t-elle enfin. Ce qui clôt notre séance « câlins ». Nous sommes désormais un peu gênés. Heureusement, un petit mot sur le ton de l’humour nous détend tous les deux. Nous redescendons comme si de rien n’était et la soirée continue sans rien de notable. Les jours suivants, le sujet n’est pas évoqué et tous les membres du groupe s’appliquent à essayer de la faire sourire et penser à autre chose qu’à sa séparation. Une nuit pleine d’excitation Nous arrivons finalement à la fin de la première partie du séminaire. La majorité des gens rentrant chez eux le vendredi soir, je fais le choix du samedi matin afin de ne pas voyager tard. Étant le seul externe à rester et Léa seule chez elle, je lui propose d’aller dîner en ville. Elle accepte et me répond qu’après nous pourrions même regarder un film chez elle. C’est ainsi qu’en sortant du séminaire, j’achète une bouteille de vin à boire et déguster devant le film puis j’en profite pour m’habiller de façon ...