Ophélie, de femme à femelle (6)
Datte: 19/12/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... la position, cette position d’une impudeur sans égale, tenant son sexe dans une main il fléchit les genoux pour venir frotter son gland contre mes lèvres, buttant contre mon clitoris gonflé. Je geins de plaisir, c’est si bon que j’oubli presque ce qu’il veut me faire. Mon dieu il a l’intention de me baiser avec une autre bite dans mon cul. Ça ne va jamais rentrer, il est trop gros, mon dieu. Le temps que je me pose toutes ses questions, il est déjà au fond de ma chatte, tapant au fond. - Putain elle est tellement mouillée que c’est rentrer tout seul, ironise Arnaud. Tu vois, on rentre à deux ! J’ai le souffle coupé, tellement que je suis pleine. Mes deux tourmenteurs discute, rigole entre eux mais je ne saisis pas ce qu’il dise, je suis dans un état second, au bord d’un orgasme que je sens dévastateur. Mon Dieu, c’est trop bon, trop fort, ils n’ont pas encore fait le moindre mouvement et déjà je suis au bord de l’évanouissement. Arnaud m’attrape par les seins, plantant ses doigts dedans, ...
... écrasant mes tétons durs comme du bois dans sa paume. - En plus il a des poignets pour ne pas tomber, dit-il en rigolant. Ce sont les dernières paroles dont je me souvienne, car dès le premier mouvement d’Arnaud, tout devins flou, confus, j’ai un vague souvenir d’avoir hurlé de plaisir et puis plus rien. Je me suis simplement réveillée, affalée sur mon bureau, les seins à l’air, la jupe posé sur mon clavier, et seule avec Arnaud, Sébastien n’était plus là. Que m’ont-ils fait subir d’autre ? Je suis fourbue, je peux à peine bouger, juste la force pour me redresser sur mon fauteuil. - Tu te réveilles enfin chienne ! me dit Arnaud sans lever les yeux de son ordinateur. Il est 15 heures, tu n’as pas signé ton contrat, qu’es ce que tu attends ? Oui qu’es ce que j’attends ? Qui hésiterait à devenir la chienne de cet homme qui vous donne autant de plaisir ? Pas moi, je le signe et, pris tout bas pour vivre le plus longtemps possible aux pieds de ce pervers ! Aux pieds de mon patron ! Aux pieds de mon Maître !