[Sci-Fi] L'évolution de la race humaine (54)
Datte: 19/12/2017,
Catégories:
Divers,
... ferma les yeux. Elle était toujours serrée contre sa mère, profitant de sa chaleur et de son odeur si rassurante. Bon sang, comment allait-elle bien pouvoir retrouver Simon et Morgane ? Elle leva les yeux sur les liens de Juliette. — Ben, appela-t-elle, tu veux bien chercher les clefs des menottes ? — M’en occupe. — Un copain à toi ? S’informa Juliette en détaillant le mercenaire. Il est beau gosse. — Si on veut ... Tu m’as tellement manqué, maman. J’ai eu si peur. — Nous aussi, ma chérie ... nous aussi ... Dis ça ne te dérangerait pas de me finir ? Enfin, je veux dire, tu nous as interrompus, ce bel étalon et moi-même, avant qu’il n’ait le temps de terminer ... En plus je suis à moitié à poil, je suis chaude comme la braise et pour couronner le tout, je sens ton érection contre ma chatte alors ... Erika plongea son regard dans celui de sa mère, mesurant le pour et le contre sans oublier de prendre en compte son désir grimpant. Elle posa une main sur les fesses de sa tendre mère et les malaxa voluptueusement. — C’est bon, je l’ai ! S’écria Benjamin en accourant auprès d’Erika et de sa mère, la clef victorieusement brandie devant lui. — Attends un peu, lâcha la jeune fille sans quitter sa mère des yeux. Un sourire gourmand naquit sur les lèvres de Juliette qui se mit à onduler au rythme des caresses de sa fille chérie. — Quoi ? Comment ça ? Répliqua le mercenaire avant d’enfin comprendre. Heu ... Non ! Non, non, non sorry les filles mais non. Il faut qu’on y aille ! J’ai ...
... vraiment aucune envie de nous faire prendre ici ! Je n’ose pas imaginer ce que me feront subir les copains s’ils apprennent que je vous ai aidé. Non, n’y pense même pas, Erika ! Arrête de peloter ta mère et barrons-nous d’ici ! — Tais-toi, Ben. Va déjà délivrer Mathilde et Eugénie. — Mais ... je ... — Go ! Benjamin s’en alla, les yeux ronds d’incompréhension. — Mais où est-ce que je suis tombé, bordel ? Marmonna-t-il pour lui-même. C’est quoi cette famille de taré ? Il tourna la tête en direction de la porte et s’arrêta net. Il resta longuement ainsi, les bras ballants, le cerveau probablement grillé. Il n’eut ni la force, ni l’envie de formuler la moindre forme de protestation, se sentant tout à coup bien trop vide et fatigué. Eugénie et Mathilde s’embrassaient follement, l’une et l’autre intimement entremêlée. Quant à la jolie Claire, elle se trouvait entre leurs jambes, un sexe introduit dans chacune de leur intimité et les baisait sauvagement. — Aah oui ! Vas-y, Claire ! C’est bon, ma grande ! C’est boon ! — Ooh baise-nous encore ! Oh cette bite ! Mmmh ! Benjamin était perdu. Soudain, il voulut prendre ses jambes à son cou et partir le plus loin possible de cette famille déjantée. C’était dangereux de rester avec elles, ce ne pouvait que mal se termi ... — Hey, toi ! L’appela Eugénie. Le beau mâle. Reste pas planté là, viens donc nous prêter ta queue ! — M ... mais ... il faut ... on doit pas rester là, enfin ... je ... — Allez, magne-toi ! Mmh ... On n’a pas toute la journée. ...