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Au musée
Datte: 19/12/2017, Catégories: fh, extracon, copains, toilettes, amour, intermast, Oral fdanus, amiamour, lieuxpubl,
... redescendons les escaliers quatre à quatre, les joues rouges, en nous tenant par la main et en pouffant comme des gosses. Très joueuse, elle me traîne dans les toilettes pour dames du musée et me pousse dans une cabine. En me regardant droit dans les yeux, elle ôte rapidement son tee-shirt, mais elle ne me laisse même pas le temps de la toucher. Elle s’accroupit et commence à ouvrir les boutons de ma braguette. Ma queue qui avait bien eu le temps de ramollir durcit presque instantanément. Elle baisse rapidement mon caleçon, et me prend tout de suite en bouche, ses yeux toujours dans mes yeux. Elle se met à me pomper comme jamais elle ne me l’a fait auparavant. Avec application et conviction. En salivant un peu et en serrant fort ses lèvres autour de ma queue. C’est délicieux ! Après l’excitation de tout à l’heure, mon cerveau et mes sens sont en ébullition. J’entends deux femmes rentrer dans les toilettes et échanger quelques mots. Mon excitation monte encore d’un cran. Cécile glisse sa main dans mon caleçon pour prendre délicatement mes couilles dans un mouvement caressant et les presser tout doucement. Ça me fait exploser. J’ai l’impression que je vais tomber dans les pommes tellement c’est bon. D’une main, je m’appuie au mur. De l’autre, je caresse ses cheveux. Elle continue de me sucer délicieusement en ralentissant peu à peu le rythme et en avalant tout jusqu’à la dernière goutte. Et ceci toujours en me regardant… Puis très espiègle, Cécile se relève rapidement et tout en remontant mon caleçon, me roule une pelle langoureuse. Elle enfile son tee-shirt en me tirant la langue. Elle s’essuie les lèvres avec quelques feuilles de papier pendant que je reboutonne mon jean, et comme une folle, elle me tire à nouveau par la main pour ressortir des toilettes en courant. Nous bousculons les deux femmes stupéfaites et nous éclatons de rire. La scène n’a pas duré plus de cinq minutes. J’ai l’impression d’avoir rêvé…