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Michel et les nouveaux exploits d’Aline, c’est bon mais ça fait mal!
Datte: 20/12/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro
... partagé entre les fesses de ma femme et la pipe qu’elle fait à son patron mais plus aucun doute je bande une nouvelle fois. Quand je vois dégouliner du cul de ma femme des perles du sperme de Raymond, mon choix est fait. Et définitivement parce que je sens ma nouille se secouer toute seule. Je jouis une troisième fois mais seulement un liquide transparent coule de mon méat. C’est la première fois que ça m’arrive. Ma femme fait jouir sont patron et avale tout son sperme alors qu’elle n’a jamais voulu gouter le mien. Après un moment elle se lève et dit au garçons qu’elle monte se coucher. Elle rajoute même que s’ils veulent encore s’amuser ils ne doivent pas tarder parce qu’elle est crevée. Ils préfèrent rester en bas à boire, je ne les comprends pas! J’adorerai pouvoir m’allonger à côté de ma femme et caresser son corps mais quand je monte c’est pour rejoindre ma femme. Vers 2 heures du matin j’entends les deux autres tomber dans les escaliers en montant et ensuite rigoler. Une fois dans la chambre je les entends essayer de réveiller ma femme mais ils se mettent rapidement à ronfler. Le lendemain quand je me réveille il y a toujours un concert dans la chambre de ma femme. Quand je reviens leur préparer le petit déjeuner j’entends qu’ils sont réveiller et même entrain de prendre du plaisir. J’attends pendant plus de 20 minutes mais je dois repartir. 2 heures plus tard quand je reviens il n’y a plus que le patron et ma femme. Après le repas de midi il remonte dans la chambre pour de nouveau faire l’amour alors que je ressors travailler une fois la vaisselle finie. Quand je suis rentré en fin de journée ma femme est restée jusqu’au lendemain. Par contre je ne l’ai plus revu que quelques jours jusqu’à l’été. Encore une fois mi juillet elle m’annonce qu’elle part au Cap d’Agde mais me réconforte en me disant quand octobre son patron nous prête la maison uniquement pour nous deux. En attendant octobre j’ai pris mon mal en patience et j’ai compté les mois puis les semaines…