1. Un jet de bonheur


    Datte: 04/07/2017, Catégories: f, piscine, revede, confession, Masturbation

    Dans le ciel noir, les éclairs tombent des nuages comme des poignards menaçants pour les baigneurs que nous sommes, mes deux amis et moi. Au-dessus de la piscine, les airs se balancent fougueusement, emmenés par la rage du tonnerre. C’est étonnant comme je me sens bien dans cette atmosphère de fin du monde. La pluie ricoche à la surface de l’eau, sans nous déranger. J’ai envie de plus de chaleur, mon corps sent trop la fraîcheur, et désire la tiédeur du bassin voisin. Alors je change d’eau et vais dans la piscine chaude, celle dont le tour est orné de buses merveilleuses. D’abord les pieds, puis les mollets se détendent sous le massage. Je me sens molle. Je me sens bien. Le jet suivant est comme un éclair de plaisir. Approchée de lui en lui tournant le dos, je reviens bien vite en face de lui, dans un réflexe de surprise. Entre mes fesses, il s’est introduit dans mon intimité, avec une violence sensuelle. Une émotion érotique s’est soudainement emparée de mon ventre, avec une puissance inattendue. Alors je me tourne, et je m’offre à cette caresse si imprévue. J’écarte un peu les cuisses pour que l’eau s’insinue sans peine dans ma fente. L’envie de sexe me tire un soupir que je dois réprimer. À ma gauche, un homme jeune et beau, à ma droite, son père, un homme plus vieux, mais tout aussi séduisant. Je les regarde pour m’assurer qu’ils ne s’aperçoivent pas du plaisir que le jet de la piscine m’offre, dans une sublime masturbation. Le plus âgé des hommes me sourit et me parle. ...
    ... Je n’ai qu’un souffle pour lui répondre, car là, entre mes jambes, le plaisir monte, et coupe ma voix. Comme une langue d’homme, l’eau fait vibrer mon clitoris et me fait tout entière trembler de bonheur. Le désir vainc les barrières de ma pudeur. Je crois que je vais jouir, ici, dans cette piscine publique, sous les yeux de ces deux hommes. Loin de moi était cette envie, loin de moi était cette idée, je voulais juste me détendre dans ces bains thermaux. Mes seins se tendent par le charme de ce qui se passe entre mes jambes, ils durcissent de volupté. Un court instant, ma main les frôle. Leur pointe est si ferme, que j’ai le besoin de les masser vigoureusement. Je glisse ma main dans le décolleté de mon maillot, et je me caresse un peu, n’osant pas le geste qui me soulagerait. L’homme à côté me regarde d’un œil complice. Il vient de quitter cette buse et sait exactement où elle se dirige sur mon corps. Immédiatement je me retourne, lâchant mon sein, pour ne plus entraîner de soupçons dans ma direction. Mais à nouveau, au milieu de ma croupe, le jet me fouille. J’adore cela… Je n’ai pas envie que cela s’arrête. Je me plaque contre le mur, pour qu’il s’engouffre un peu plus fort en moi. Ah oui, plus fort, qu’il me fasse encore plus de bien, qu’il me pénètre encore davantage. L’extase est proche. Je vais laisser échapper un cri de jouissance et peu importe si les hommes alentour le remarquent. La jouissance qui bouillonne presque en moi, presque, fait déjà battre mon cœur. Mais ...
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