1. Mister Hyde - 13


    Datte: 20/12/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... faisait frémir quand elle se caressait. De prime abord, il fut vexé qu’elle ne lui en ait jamais parlé mais il se rendit compte qu’il ne l’avait jamais interrogé à cet égard et que, pour tout dire, il ne la laissait jamais libre de s’exprimer. Il se promit, d’y remédier sans pour autant révéler son double jeu et de parfaire sa connaissance des nœuds puisqu’elle aimait être attachée. *** Cette semaine fut, pour lui riche d’enseignement, pour elle extrêmement détendante. Lorsqu’arriva le vendredi, ils étaient tous deux prêts à passer un week-end de rêve. Frédéric prit le train de l’après-midi et patienta une petite demi-heure, le temps que Frédérique sorte du boulot et vienne jusqu’à la gare. Son voyage avait été bien plus agréable que par le train de nuit, sans doute parce que sa voisine, une charmante étudiante de vingt-deux ans, l’avait distrait par son babillage. Bavardage qu’il poursuivirent d’ailleurs devant un demi en attendant le car qui la déposerait chez elle. La jeune fille, Lucile, s’éclipsa quelques minutes à peine avant qu’apparaisse Frédérique. Frédéric en fut soulagé, il avait encore en mémoire les aveux de jalousie de sa femelle quinze jours plus tôt. Et puis il oublia la jolie étudiante, Frédérique était éblouissante. Le visage éclairé par un doux maquillage, la profondeur de son regard à peine souligné par un trait de crayon, les lèvres rosies d’un rouge ténu, elle avait revêtu sa robe bleue, celle qui moulait ses formes d’une façon on-ne-peut-plus ...
    ... provocante. Elle s’empressa d’expliquer qu’elle s’était changée en sortant du travail. Pour preuve, elle indiqua le petit sac de voyage qui trainait sur la banquette arrière. Frédéric se contenta de lui dire son ravissement et ajouta, sans fioriture : - Je meurs d’envie que tu me suces. Trouve une endroit… Les lèvres de la femme dessinèrent un sourire et elle tourna à droite pour prendre la direction de la campagne. Rapidement, elle trouva un chemin de traverse dans lequel elle s’engagea. Elle tourna la clé de contact et se pencha. Il la stoppa dans son élan. - Pas comme ça ma belle. Je veux une cérémonie. Je veux que tu sois à genoux, presque nue devant moi. Je veux que tu me suces en sachant que le plaisir te sera refusé, que tu n’es là que pour le mien. Sors de la voiture et penche-toi vers ma portière comme une pute monnayant ses services. Je veux voir tes tétons, durcis d’excitation, transpercé le tissu de ta robe. Ensuite, je descendrai et tu la quitteras, tu t’agenouilleras dessus, la gueule grande ouverte et la langue pendante comme une chienne qui espère sa récompense. Voilà ce que je veux ! Ensuite, tu pourras me pomper. Docile, Frédérique obéit point par point aux exigences de son maître. Il fut heureux de constater qu’elle portait une culotte au dessus de son porte-jarretelles, dans son esprit, cela renforçait l’interdiction de plaisir qu’il venait d’énoncer ainsi que le rôle de putain qu’il lui imposait. C’était parfait ! Il s’extirpa de la voiture et cala ses fesses ...
«1234...»