mamie et les blacks
Datte: 20/12/2017,
Catégories:
Mature,
Partouze / Groupe
Sexe Interracial,
CHAPITRE 1 : La PanneA presque 56 ans j’ai découvert qu’en fait je n’étais qu’une oie blanche, c’était l’an dernier un samedi du mois d’aout.Mariée pendant 33 ans, sans enfants, veuve depuis presque cinq ans, ma vie sexuelle était un immense désert. Depuis mon veuvage j’avais eu cinq ou six « aventures » sans grand intérêt. Je ne sortais pas le soir, n’avais aucune vie sociale, pas d’amis ou si peu ; plutôt des connaissances, des collègues. J’avais bien trois copines avec qui je m’entendais bien, mais nous n’étions pas à proprement parler des amies intimes ; quand nous nous rencontrions pour des soirées de filles le sexe était très peu évoqué, l’une était mariée, les deux autres divorcées. Il y avait bien de temps à autre une allusion, mes deux copines « libres » évoquaient quelque fois leurs rencontres, tout compte fait aussi inintéressantes que les miennes ; personnellement je ne me livrais pas. Je gardais mes frustrations et mes désirs pour moi. Je n’avais pas suffisamment d’affinités avec elles pour leur faire des confidences.Pourtant des désirs j’en avais, et des frustrations donc !Mon défunt mari avait été mon premier homme, nous nous sommes connus quand j’avais dix-sept ans, lui en avait vingt-cinq, nous nous sommes mariés un an plus tard. Il m’avait eue vierge, j’avais bien connu quelques garçons avant lui, mais j’avais su préserver ma virginité ; à l’époque de mon adolescence à la fin des années soixante-dix c’était encore assez courant. Il était courant d’arriver « ...
... pure » au mariage. Ce n’était pourtant pas tout à fait mon cas, il m’avait déniaisée quelque mois plus tôt. Ce ne fut pas la « grande révélation », j’aimais bien faire l’amour mais cela ne me faisait pas grimper aux rideaux ; ça faisait du bien, ce n’était pas désagréable mais c’était plus hygiénique qu’extatique. Nous avions une vie sexuelle que j’estimais « normale » à l’époque, sans réelle passion, deux à trois rapports par semaine, d’une manière tout à fait classique, sans fantaisie. Je m’en satisfaisais parfaitement, mon mari moins, plusieurs fois il m’avait réclamé une fellation ; il m’arrivait de temps à autre de lui en prodiguer une, mais je détestais ça. Ça ne me dégoutait pas vraiment, mais je détestais me retrouver avec des poils dans la bouche. Et pas question à cette époque-là pour un homme de s’épiler ; pas plus d’ailleurs pour les femmes, les jambes, les aisselles oui, éventuellement le maillot pour l'été, mais un sexe totalement épilé ou avec un « ticket de métro » était inconcevable. Aujourd’hui je pense que cela a tué beaucoup de libidos.Quand il me parla de minette je ne compris même pas ce qu’il désirait ; après qu’il m’eût expliqué je refusais tout net, l’idée qu’on me lèche le sexe me répugnait, je lui demandais de ne plus jamais m’en parler.La sodomie était également taboue, il essaya à plusieurs reprises mais je m’y refusais toujours, outre la peur d’avoir mal mon éducation très catholique m’interdisait ce genre de rapport « contre nature ».Il s’était ...