1. Premières vacances avec Aline


    Datte: 21/12/2017, Catégories: fh, vacances, amour, Oral pénétratio, amiamour,

    Résumé : Après avoir montré mon string à ma collaboratrice et qu’elle m’a montré ses seins, je rentre chez moi. Nous sommes devenus amis et, après que son mec a annulé un voyage en Tunisie, elle est venue passer deux semaines avec moi, dans le sud. Arrivés à La Farlède (petit village à côté de Toulon), je lui fis visiter la maison, puis nous avons préparé deux chambres, pris une douche pour nous remettre du voyage et, comme à chaque fois que je descendais, nous sommes allés dîner chez des amis pour qui il était hors de question qu’après la route, je mange seul chez moi ou aille au resto à Toulon. En général, je les invitais le lendemain. Arrivés, chez eux, je leur présentai Aline, et devant leur sourire, leur expliquai qu’il s’agissait seulement d’une amie qui, se retrouvant seule et n’ayant pas le moral, était venue passer quelques jours avec moi. Je vis à leurs sourires que je ne les avais pas trop persuadés. Sachant qu’il était inutile d’essayer de les convaincre, je pris le parti de les laisser à leurs croyances. La soirée fut très agréable. Comme d’habitude, le rosé était frais et abondant. J’aidai Patrick au barbecue, tandis qu’Aline donnait un coup de main à Brigitte pour mettre la table. Je remarquai qu’elles semblaient avoir développé une grande amitié dès leur premier contact. Étonnamment, j’en fus très heureux. Est-ce la fatigue ou sa déception ? Je ne m’en rendis pas compte (sinon je l’en aurais empêchée) mais Aline but beaucoup de rosé et de champagne. Aussi, la ...
    ... chaleur aidant, c’est complètement ivre que je la ramenai chez moi. Heureusement, elle avait le vin gai. Arrivés à la maison, je voulus l’aider à se coucher quand soudain, elle me prit par le cou et m’embrassa. — Fais-moi l’amour…— Arrête, tu es saoule. Tu ne sais plus ce que tu dis. Tu ferais mieux de dormir. Malheureusement, dans son état, elle ne se calma pas, loin de là. — Vas-y, baise-moi. Profite-en ! Ça ne sera pas toujours comme ça. Elle s’accrocha à moi et ne voulut pas entendre raison. Je n’eus plus qu’une solution. Je lui donnai une gifle, pas violente mais suffisamment pour qu’elle s’arrête immédiatement. — Ça va pas non ? T’es con ou quoi ! Alors, avec toute la tendresse dont j’étais capable, je lui dis : — Va te coucher. Tu as trop bu ce soir et tu ne sais plus ce que tu dis. Elle n’était pas calmée pour autant : — T’es qu’un pauvre con. Je suis bourrée et t’en profites même pas pour me baiser. Tu mérites vraiment d’être seul, tiens ! J’eus beau savoir qu’elle était saoule, sa phrase me fit vraiment du mal. Sans rien dire, je tournai les talons et allai dans ma chambre. Le lendemain matin, j’étais allé chercher du bacon, des œufs, du lait et tout ce qu’il faut pour un petit déjeuner. Quand je revins, elle était debout et m’attendait très gênée et quasiment les larmes aux yeux. — Je suis désolée pour hier. Je ne voulais pas te dire tout cela.— Je sais, ne t’inquiète pas, c’est oublié. Allez, déjeunons et ensuite on va se balader. Je l’ai emmenée vers un coin que ...
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