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Petits jeux pervers au bureau
Datte: 04/07/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme
... t'as trop raison. Et... du coup ? Tu le ferais toi ? _ Ben... Si une fille voulait... s'occuper de moi, tu vois ! Je serais pas contre. Mais moi je pense pas que je pourrais faire un cuni à une nana. _ Ah ouais.... _ Ça te branche pas toi ? C'est la première fois que j'étais si proche d'avoir une vraie aventure avec une autre fille. En plus, Samia ! Je la voyait tous les jours en petite tenue. Ça faisait des mois que je fantasmait sur elle, sur ses petites fesses fermes et rebondies. Je sentait le sang qui battait dans mes tempes. Je tentait de répondre sur un ton détaché mais ma voix tremblait d'émotion quand j'ai dit : _ Je veux bien essayer. Mais juste ce soir ! Je passerais sur mon premier cuni qui devait être assez timide et maladroit. Samia en fut satisfaite. On en a pas reparlé de la semaine puis, elle m'a proposé de recommencer. Forcément, j'ai accepté. Puis c'est devenu régulier. Deux ou trois fois par semaine, elle me demandait simplement : _ T'as envie ? Je n'ai jamais refusé. Je glissait ma tête sous ses draps et elle me laissait faire. Une fois, dans les premiers temps, (elle devait se sentir un peu ...
... redevable), elle m'a demandé si je voulais qu'elle me « fasse du bien ». Je me suis empressée d'accepter mais ce fut un fiasco lamentable. Elle s'est arrêtée après quelques coups de langue s'excusant de ne pas y arriver. Je lui ai dit : _ C'est pas grave. J'ai pas envie que tu le fasse si t'aimes pas. Du coup, je me contentais de me caresser pendant que je lui broutait le minou. Ce que je faisait de mieux en mieux. Les semaines ont défilées. Nous avions pris nos petites habitudes « de couple » mais en dehors de l'internat, elle m'ignorait superbement. Tombée amoureuse, je souffrais de son indifférence. Un soir elle me dit : _ J'ai envie. C'était plus la peine de me poser la question. L'année s'est poursuivie ainsi. Puis nous avons eu le bac. La dernière fois qu'on s'est parlé, j'étais vachement émue. Je tentais de retenir mes larmes. Samia était quand même sympa. Elle a essayée de me réconforter maladroitement du style : _ T’en fait pas. Tu trouvera peut-être une autre fille. En tout cas, j'ai bien aimé. Je regrette rien. C'était mon premier vrai chagrin d'amour. Et le seul. Je n'avais jamais retrouvé de copine depuis.